1er levier
La communauté internationale : elle doit constamment trouver les coalitions pour stopper ces exils par un règlement politique sous l’égide de l’ONU, nous devons interpeller les élus de notre nation, de notre région.
2ème levier
Les aider, les soutenir chez eux.
Nourriture, chauffage, hébergement, rencontres, échanges…
Humaniser les camps de réfugiés.
Évidemment, l’idéal est qu’ils puissent rester chez eux. Il faut tout faire pour cela. Mais…
Même ceux et celles qui ne voulaient pas quitter leur pays réfléchissent à l’émigration ; d’autres attendent de pouvoir émigrer vers les pays occidentaux. Il faut savoir qu’il n’y a pas d’exil vraiment heureux et que le plus souvent le choix se fait entre vie ou mort !
3ème levier
Ici, en terre Morbihannaise, l’accueil et l’accompagnement de nos frères réfugiés et migrants et de nos frères persécutés pour leur foi sont signes de notre Église présente « aux périphéries existentielles et géographiques ».
Dans l’espérance que l’arbre déraciné par la barbarie, la guerre, la faim, le climat, puisse un jour s’enraciner de nouveaux dans sa terre.
En attendant ils sont chez eux chez nous.
Que l’élan de notre commune dignité en humanité, dans la richesse de nos traditions, de nos cultures, permette l’audace de construire une fraternité ciment du « vivre ensemble » dans notre société, cœur battant de l’Évangile au pas de Dieu. N’ayons pas peur !