La boucle peut commencer ou finir par la visite de l’église.
La randonnée rejoint vite les chemins agricoles et une série de villages : La Bosse, Le Clio, Les Madrieux… Puis, on quitte les petites routes goudronnées pour un sentier, conduisant entre bois et champs en direction de l’abbaye la Joie Notre-Dame.
Après une pause à l’abbaye, sur les hauteurs, la croix Sainte-Anne, vue d’en bas, paraît imposante, mais l’effet ressenti après avoir gravi la lande est incomparable. La croix en granit, qui surplombe la lande et offre un panorama magnifique, a été érigée à l’implantation du monastère.
Sur les hauteurs de Campénéac, le paysage alterne entre landes, bois et prairies. À la croisée de plusieurs chemins, on pourrait être tenté de rejoindre le Val sans retour ou Tréhorenteuc.
Mais la randonnée nous guide vers d’autres horizons. Bientôt, c’est le moulin de Rohan qui surgit dans la lande.
La balade se poursuit dans un chemin bordé de mûres. Au village de Leslan, un passage entre deux maisons guide les pas du promeneur. Puis, une clairière se dessine, dévoilant, à l’extrémité d’un champ de graminées, une statue. Notre-Dame-de-la-Réconciliation rayonne dans ce coin de campagne, provoquant l’étonnement autant que le recueillement. Le lieu est paisible, et l’on marque volontiers un temps de repos sur les bancs qui la jouxtent.
Rejoindre ensuite le village de Campénéac.
Campénéac
Paroisse dès le IXe siècle, la commune compte, à partir du XVe siècle, jusqu’à 31 seigneuries, la principale étant celle de Trécesson. L’église de Campénéac (fin XIXe) est dédiée à la Nativité de la très Sainte Vierge et abrite une chaire supportée par un diable agenouillé, symbole du bien supplantant le mal.
Les landes rennaises
Dominées par la monumentale croix de Sainte-Anne, les landes rennaises sont un milieu plein de vie qui abrite de nombreuses espèces végétales et animales. Bruyères et ajoncs constituent la majeure partie du couvert végéral d’où émerge ici ou là des portions de roche. Quelques arbres, feuillus ou résineux, sont le reflet de cette nature aride et sauvage.
Du gîte d’étape, prenez à gauche la direction de l’Oust sur 2 km, puis suivez le panneau indiquant la chapelle Saint-Maudan que vous découvrez 1 km plus loin. 300 m après, sur votre gauche, n’hésitez pas à grimper sur quelques rochers pour découvrir un petit lac aux eaux turquoises dans une ancienne carrière de schiste.
Une petite route ombragée vous conduit 500 m plus loin à un croisement. Sur votre droite, une forte descente vous mène à une première passerelle étroite enjambant l’Oust. Vous êtes sur le GR37 et le sentier de l’Equibreizh, puis une seconde passerelle plus petite vous permet d’arriver au moulin de l’Ile. Il vous faudra peut-être mouiller vos chaussures à cet endroit, la chaussée étant souvent recouverte d’eau.
Suivez à gauche le chemin longeant le canal de Nantes à Brest durant 1 km jusqu’à l’écluse de Timadeuc, traversez le canal puis prenez la première route à droite. Possibilité de rejoindre l’abbaye de Timadeuc directement en montant tout droit.
300 m après, vous apercevez sur la gauche l’étang de l’abbaye. Juste après sur la gauche, prenez la route sur 400 m puis tournez à nouveau à gauche pour rejoindre l’abbaye de Timadeuc. Une pause s’impose.
De là, redescendez vers l’écluse et le canal en descendant tout droit. Retraversez le pont et longez le canal à droite sur près d’un km. Vous arrivez au moulin de Coët-Moru. Un pont en bois enjambe la rivière.
50 m après le moulin, prenez à gauche, puis empruntez la deuxième route à droite à environ 1 km. Vous remontez une route sinueuse sur 1,5 km jusqu’aux villages de la Ville-Jan et de Bel-Air. Au dernier croisement, prenez à droite au niveau du bois de sapin, puis à gauche au panneau indiquant Arné. Vous revenez alors au gîte d’étape.
Chapelle Saint-Maudan
Nichée dans un coin de verdure, à flanc de coteau entre les villages de La Gaffe et de Coët-Moru, cette chapelle a été érigée en 1660 et reconstruite en 1669. Elle est dédiée à saint Maudan, évêque d’Écosse entre le VIIe et le IXe siècle. Au XIXe siècle, on venait prier saint Maudan lors des sécheresses afin que la pluie soit suffisante pour les récoltes.
À l’intérieur du petit édifice, les enduits intérieurs chaulés laissent deviner d’anciens décors polychromes. Son mobilier est très beau, à l’image de cette Vierge à l’Enfant en bois polychrome du XVIIe siècle. La statue de saint Sébastien (XVIe siècle) est en bois polychrome, comme celle de saint Maudan (XVIIe siècle). L’autel, orné d’une croix comportant la colombe du Saint-Esprit en son centre, et les stalles en bois sont du XVIIIe siècle.
À quelques pas à droite au-dessus de la chapelle, une fontaine semble ne jamais tarir.
Écluse de Timadeuc et canal de Nantes à Brest
C’est à l’écluse de Timadeuc qu’on déchargeait les pierres de la carrière des moines. La carrière, située dans les environs de Pontivy, a été exploitée par ces derniers de 1928 à 1934. Le transport des pierres se faisait en charrette jusqu’à l’île des Récollets à Pontivy, puis sur une péniche halée par des chevaux le long du canal. Cette jolie écluse a ainsi participé à la construction du monastère de Timadeuc.
Le 24 septembre, venez tous à Sainte Anne pour fêter la rentrée ! Cette journée exceptionnellemarquera le début du Grand jubilé Sainte Anne : le 400e anniversaire de l’apparition de Sainte Anne à Yvon Nicolazic. « Dieu veut que je sois honorée ici ».
Monseigneur Centène expliquera la démarche jubilaire le matin, une messe solennelle suivra. L’après-midi sera consacré à un challenge inter-paroissial et intergénérationnel !
Cette journée du 24 septembre 2022, ouverte à tous, verra le lancement du jubilé sainte Anne par Monseigneur Centène. En effet, à partir de cette année 2022, Monseigneur Centène a voulu que se vive un jubilé Sainte Anne jusqu’en 2025, année où le pape a décidé de la tenue d’une année sainte, sur le thème « Pèlerins de l’espérance« . Après deux ans de pandémie, le Souverain Pontife espère que ce moment de grande importance spirituelle, ecclésiale et sociale, favorisera «la recomposition d’un climat d’espérance et de confiance». L’année 2025 sera aussi l’année anniversaire des 400 ans des apparitions de Sainte Anne à Yvon Nicolazic ! (1625-2025)
Pour notre diocèse, il s’agira « d’intensifier la dynamique pastorale et missionnaire » en vivant trois années « enracinés dans notre histoire« avec sainte Anne (année 1), « dans la prière« avec Marie (année 2), pour « partir annoncer la foi qui nous habite en Pèlerins d’espérance » avec Jésus (année 3). Chacune des trois années devrait se vivre en communion, privilégiant la dimension paroissiale la première année, puis la deuxième année en doyenné, et enfin au niveau diocésain la dernière année.
A Yvon Nicolazic, humble paysan breton , est apparue tenant un flambeau à la main Sainte-Anne (la mère de la vierge Marie et la grand-mère de Jésus).
Elle le mènera dans le champ du Bocéno et le priera de reconstruire en ce lieu une antique chapelle qui lui était dédiée car dit-elle « Dieu veut que je sois honorée en ce lieu» (chapelle qui deviendra en 1872 l’actuelle basilique Sainte-Anne d’Auray, haut lieu de pèlerinage cher au cœur des bretons).
Pierre de Kériolet, contemporain d’Yvon Nicolazic dont il moquait ouvertement la « prétendue mission », était surnommé le « diable de Kerlois » et menait une vie dissolue. Il fut «miraculeusement converti» en 1635, pendant les exorcismes de l’affaire des possédées de Loudun, où le cardinal de Richelieu avait lancé une sombre chasse aux sorcières. Il sera même par la suite ordonné prêtre et deviendra un ardent défenseur des pauvres.
Yvon Nicolazic et Pierre de Kériolet reposent aujourd’hui en paix, l’un en face de l’autre, dans l’actuelle basilique de Sainte-Anne d’Auray.
Revivez ce mystère avec les témoins, confesseurs, premiers pèlerins de l’époque… jusqu’à l’hommage de la Reine d’Angleterre et la visite officielle et commémorative du pape Jean-Paul II en 1996.
1h30 de grand spectacle , un Son et Lumière historique émouvant pour adultes et enfants, dans le Théâtre de plein air en gradins de 1000 places de Pont Er Groah ( voir le plan d’accès ci-dessous)
Billets en vente en ligne ci-dessous, ou dans les Offices de Tourisme du Morbihan, ou sur place dès 20h, le soir des représentations. Ouverture des portes à 22h – début du spectacle 22h30
LIEU : Théâtre de Pont-Er-Groah, route de Pluvigner. Du centre de Sainte Anne d’Auray, prendre la D102. Parking en face du Théâtre DE PLEIN AIR.
TARIFS : Adultes 15€ – Enfants (de 4 à 11 ans) 7€. Tarif POUR groupes ET ASSOCIATIONS sur demande, merci de nous contacter.
« Le champ du Bocéno fait partie « de ces lieux où souffle l’Esprit ». Depuis qu’en 1623 Sainte Anne est apparue à un humble paysan breton, Yvon Nicolazic, un lien indéfectible s’est tissé entre la mère de Marie et le Peuple de Bretagne. Gravé dans les coeurs, sculpté dans le granit, chanté par les mélopées des descendants des barbes, il trouve sa plus haute expression dans le sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray, coeur spirituel de l’Armorique. Ici, chaque siècle, chaque génération a manifesté son désir d’accomplir la volonté de Dieu, telle qu’elle a été manifestée par Madame Sainte Anne : « Dieu veut que je sois honorée ici ».
René Le Honzec et Ar Gedour ont voulu apporter leur pierre à cette oeuvre multiséculaire pour honorer Sainte Anne et pour que les générations à venir connaissent l’histoire. Qu’ils en soient vivement remerciés et que Sainte Anne, patronne des Bretons, accompagne chacun de ceux qui liront ces pages. »
Selon le dessein bienveillant du Père, accompli par le Seigneur Jésus-Christ dans le don de l’Esprit Saint, Monseigneur Raymond Centène, évêque de Vannes, par l’imposition des mains et la prière consécratoire, ordonnera diacre en vue du presbytérat Simon Liot de Nortbécourt pour l’annonce de l’Évangile et le service du Peuple de Dieu.
L’ordination diaconale sera célébrée au cours de l’Eucharistie le dimanche 4 septembre 2022 à 15h30 en la basilique de Sainte-Anne-d’Auray.
VEILLÉE de PRIÈRE samedi 3 septembre de 19 h à 20 h, en l’église Sainte Bernadette de Lorient
Simon Liot de Nortbécourt, 31 ans
Issu d’une famille de marins, je suis né à Brest même en 1991 dans une famille chrétienne pratiquante. Habitant principalement entre le Finistère et les Côtes d’Armor ou le Morbihan pour les vacances familiales, j’ai terminé mes études à Lorient. J’y ai travaillé un an et demi, entre 2014 et 2016, comme ingénieur en construction navale. Ce fut une sorte de retour aux sources, puisque mes racines maternelles sont de la région d’Hennebont.
L’appel à devenir prêtre s’est manifesté fortement pendant mes années d’études, même si, plus jeune, j’étais très sensible à de belles figures de prêtres, et attaché à la messe du dimanche. Une année riche de formation à l’anthropologie chrétienne à Fribourg (Suisse) en 2013-2014 m’a donné de reprendre humblement ma vie devant le Seigneur. L’année suivante, pendant mon expérience de travail en entreprise, j’ai été amené à témoigner de ma foi devant certains collègues. Ma participation à la catéchèse de la paroisse sainte Bernadette, ainsi que l’engagement au sein de la Mission Étudiante du Morbihan (MEMO), m’ont beaucoup apporté.
Fortifié par toutes ces rencontres, j’ai exprimé mon désir d’entrer au séminaire pour le diocèse de Vannes, confiant dans la présence de Jésus à mes côtés. Après la propédeutique, Monseigneur Raymond Centène m’a envoyé en formation à Fribourg : de la mer à la montagne ! Les sessions des séminaristes et les temps d’insertion paroissiale à saint Louis et au Sacré Cœur à Lorient, puis au sanctuaire de Sainte-Anne d’Auray, m’ont donné de nouer de belles amitiés en Église. Enfin, un séjour de quatre mois à l’École biblique et archéologique française de Jérusalem a conclu mon temps de séminaire, à l’écoute de la Parole de Dieu.
Avec vous, je remercie le Seigneur pour la grâce de l’ordination diaconale en vue de la prêtrise que je recevrai le dimanche 4 septembre à 15h30 en la basilique de Sainte-Anne- d’Auray :
La basilique de Sainte-Anne d’Auray était comble pour la quintuple ordination ce dimanche. Gildas Colas des Francs, Guillaume Porrot, Thibault de Bruyn, Matthieu Vannier et Louis-Marie Lefeuvre ont reçu, par l’imposition des mains de Monseigneur Centène, le sacrement de l’ordination sacerdotale, devant une foule en joie et un presbyterum nombreux.
Retransmise en direct sur la chaîne Youtube du diocèse – et toujours visible en podcast (ici ou au bas de l’article) – la cérémonie a été emprunte de recueillement et d’action de grâces, accompagnée par les chants de la maîtrise de sainte-Anne.
En cette fête du Saint-Sacrement, qui commémore la présence de Jésus-Christ dans le sacrement de l’Eucharistie, Monseigneur Centène a rappelé dans son homélie que Jésus, à travers son corps et son sang donnés en nourriture, veut rester présent au milieu de nous. Et c’est par le prêtre que cela s’accomplit : « Ceci est mon corps qui est pour vous, faites cela en mémoire de moi. »
« Les envoyés deviennent ainsi des intendants chargés de continuer sa présence en la démultipliant à travers les temps et les lieux,car ce que les envoyés tiennent dans leurs mains, après avoir prononcé les paroles de la consécration, n’est rien de moins que ce que Jésus tenait dans les siennes le soir ou il institua l’Eucharistie. On touche là à la grandeur incommensurable du sacerdoce catholique. Le prêtre, dans la faiblesse de son humanité, n’accomplit rien de moins que ce que Jésus a fait : une offrande de soi dans l’absolu, sans conditions, jusqu’au sacrifice du calvaire. »
L’Eucharistie, source de votre vie
S’adressant aux ordinands, Monseigneur Centène continue : « Cette offrande, mes amis, se réalisera pour vous dans le oui que vous allez prononcer. Vous serez des prêtres selon le coeur de Dieu et à la manière des apôtres si vous mettez l’Eucharistie au cœur de votre vie personnelle.« […] « L’Eucharistie est la source de votre vie et de votre ministère. C’est là que vous puiserez la charité pastorale, qui unifiera votre ministère et votre vie.«
L’Eucharistie, nourriture pour la communauté chrétienne
Etre prêtre, dit Monseigneur, c’est être « établis guides et pasteurs du peuple de Dieu », selon Vatican II – Presbyterorum Ordinis. C’est s’accorder toujours plus à la vie du disciple telle que la veut Jésus-Christ, poussés par la charité du bon pasteur. C’est progresser pour s’ajuster à l’évangile annoncé, et à l’Eucharistie célébrée, et mettre celle-ci au coeur de la vie chrétienne de la communauté dont on a la charge, car « par l’Eucharistie le Christ façonne l’Eglise. Il nourrit la communauté chrétienne, il transforme la vie des disciples en vie d’amour« . Etre prêtre, c’est aussi participer « à l’autorité par laquelle le Christ lui-même construit, sanctifie et gouverne son corps qui est l’église« , veillant à ce que chacun puisse trouver sa place.
L’Eucharistie, ciment du presbyterum
« La fraternité entre prêtres sera votre richesse« , continue Monseigneur. Accueillir l’autre tel qu’il est, chercher ensemble « ce qui est le meilleur pour annoncer l’évangile dans le monde tel qu’il est […], faire grandir ensemble le peuple de Dieu« , ne pas rester seul, « animateur d’un réseau, gourou d’une secte, ou chapelain d’une coterie« … Mais « c’est en équipe que vous serez envoyés pour servir comme notre Seigneur a envoyé ses disciples« .
L’Eucharistie, pour renouveler le monde, avec Marie
« L’eucharistie », disait saint Jean-Paul II, « est une école permanente de charité, de justice et de paix, pour renouveler le monde dans le Christ. » Reprenant les paroles de saint Jean-Paul II, Monseigneur exhorte les ordinands à recevoir de Dieu l’avenir, à ne pas en avoir peur et rester dans la confiance et la fidélité, avec Marie, la première à avoir donné son oui au Seigneur.
« C’est grâce à son oui que Jésus est présent dans l’Eucharistie et dans nos vies quotidiennes. Qu’elle veille donc sur la fidélité et la fécondité du oui que vous prononcez aujourd’hui. Le seigneur sera avec vous quoiqu’il arrive. Restez toujours dans la confiance et la fidélité, elles seules vous donneront la joie et la paix.«
L’abbé Thibault de Bruyn, au nom de ses confrères, dira ce mot de fin :
« […] Petit clin d’œil du bon Dieu, c’est aujourd’hui la fête des pères, et cinq nouveaux pères vous sont donnés. Et comme tous les pères veulent ce qu’il y a de meilleur pour leur enfant, nous serons disponibles à la fin de la messe pour vous donner la bénédiction de notre unique père des cieux.
Permettez-moi de vous demander une chose : n’arrêtez pas de prier pour nous. Priez pour que nous soyons fidèles à tout ce que nous avons reçu en ce jour béni, priez pour vos prêtres pour qu’ils soient de saints prêtres. »
Nominations
Monsieur l’abbé Guillaume Porrot est nommé vicaire à l’ensemble paroissial d’Auray.
Monsieur l’abbé Matthieu Vannier est nommé vicaire à la communauté de paroisses de Gourin, et au service de la pastorale des jeunes au doyenné du Faouët et de la pastorale des jeunes en langue bretonne.
Monsieur l’abbé Gildas Colas des Francs est nommé vicaire à la communauté de paroisse de Ploërmel, au service de la pastorale des jeunes et de la pastorale étudiante.
Monsieur l’abbé Louis-Marie Lefeuvre est nommé vicaire au doyenné de Grand-Champs.
Monsieur l’abbé Thibault de Bruyn est nommé vicaire à la cathédrale.
50 jours après Pâques, nous fêtons la Pentecôte, cette fête qui célèbre la venue de l’Esprit Saint sur les apôtres (en grec, pentêkostê signifie « cinquantième »). Avant de monter au Ciel (à l’Ascension), le Christ avait annoncé aux apôtres : « Vous allez recevoir une force quand le Saint-Esprit viendra sur vous ; vous serez alors mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre » (Ac 1, 8).
Afin de se préparer à la Pentecôte, nous vous proposons la prière ci-dessous, pour demander les 7 dons de l’Esprit-Saint.
« Esprit Saint, divin Consolateur, je vous adore comme mon Dieu véritable, ainsi que Dieu le Père et Dieu le Fils. Je vous bénis et je m’unis aux bénédictions que vous recevez des Anges et des Saints.
Je vous donne mon cœur et je vous offre de vives actions de grâces pour tous les bienfaits que vous avez répandus et que vous ne cessez de répandre dans le monde.
Auteur de tous les dons surnaturels, qui avez comblé d’immenses faveurs l’âme de la bienheureuse Marie, Mère de Dieu, je vous prie de me visiter par votre grâce et par votre amour et de m’accorder :
Le don de votre Crainte, afin qu’il me serve de frein pour ne jamais retomber dans mes fautes passées, dont je vous demande mille fois pardon,
Le don de Piété, afin que je puisse à l’avenir vous servir avec plus de ferveur, suivre avec plus de promptitude vos saintes inspirations, observer plus exactement vos divins préceptes,
Le don de Science, afin que je puisse bien connaître les choses de Dieu et, éclairé par vos saintes instructions, marcher sans jamais dévier dans la voie du salut éternel,
Le don de Force, afin que je puisse surmonter courageusement toutes les attaques du démon et tous les dangers du monde qui s’opposent au salut de mon âme,
Le don de Conseil, afin que je puisse bien choisir tout ce qui est le plus convenable à mon avancement spirituel, et découvrir tous les pièges et les ruses de l’esprit tentateur,
Le don d’Intelligence, afin que je puisse bien entendre les divins mystères et, par la contemplation des choses célestes, détacher mes pensées et mes affections de toutes les vanités de ce misérable monde,
Le don de Sagesse, afin que je puisse bien diriger toutes mes actions, en les rapportant à Dieu comme à ma fin dernière, afin qu’après L’avoir aimé et servi comme je le dois en cette vie, j’aie le bonheur d’aller le posséder éternellement en l’autre. » AMEN
FertilityCare permet une meilleure connaissance de sa fertilité, pour un accueil responsable de la vie.
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Elle s’adresse aux couples qui souhaitent gérer leur fertilité naturellement, sans avoir recours à un moyen de contraception chimique ou mécanique.
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Le 25 mars 1858, la vision révèle son nom, Bernadette raconte : « elle leva les yeux au ciel, joignant en signe de prière ses mains qui étaient tendues et ouvertes vers la terre et me dit : que soy era Immaculada Councepciou » (« Je suis l’Immaculée Conception« ).
A
Lourdes, Marie et Bernadette nous invitent à visiter, à découvrir un Mystère
révélé au secret de la Rencontre. Vouloir connaître le nom de Marie, c’est se
disposer à écouter les battements de son cœur, c’est faire suffisamment silence
pour laisser son souffle nous envahir.
Marie au travers de Bernadette nous attire à la source. Elle nous fait
découvrir qui nous sommes dans le Cœur de Dieu.
« Ô
Marie, notre Mère Immaculée, je viens à Toi,Tu nous rappelles
qu’avant tout il y a la Grâce de Dieu, il y a l’Amour de Jésus-Christ qui a
donné Sa vie pour nous. » Pape François
Un pèlerinage pour vivre :
des temps de prière
des temps d’enseignement ou de catéchèse
des temps de rencontres, pour partager,
échanger…
des temps personnels pour prier, faire le
point, se poser, réfléchir…
Selon votre état de santé, vos aspirations,
vos possibilités, vous pourrez participer en tant que :
Pèlerin en Hôtel : pour les personnes valides
et totalement autonomes
Pèlerin en Accueil : pour les personnes
dépendantes, handicapées, malades, ou ayant besoin d’aide pour vivre au quotidien.
Accompagnateur : Mgr Raymond Centène
« Bernadette de Lourdes », le spectacle musical, revient à Lourdes pour la saison 2022 !
« Bernadette de Lourdes » est le récit des fascinantes et inspirantes apparitions mariales à la jeune Bernadette Soubirous.
Pourquoi chercher le vivant parmi les morts ? C’est une joie vraie, profonde, fondée sur la certitude que, désormais, le Christ ressuscité ne meurt plus, mais qu’il est vivant et qu’il oeuvre dans l’Église et dans le monde. […] Cette certitude habite le coeur des croyants depuis ce matin de Pâques où les femmes allèrent au tombeau de Jésus et où les anges leur dirent : « Pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts ? » (Lc 24, 5).
« Pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts ? Combien de fois cherchons-nous la vie parmi les choses mortes, parmi les choses qui ne peuvent pas donner la vie, parmi les choses qui sont aujourd’hui et qui demain ne seront plus, les choses qui passent… « Pourquoi cherchez- vous le vivant parmi les morts ? » […]
Aujourd’hui, cette question nous est posée à nous aussi.
Toi, pourquoi cherches-tu le vivant parmi les morts, toi qui te replies sur toi- même après un échec et toi qui n’as plus la force de prier ? Pourquoi cherches-tu le vivant parmi les morts, toi qui te sens seul, abandonné par tes amis et peut-être aussi par Dieu ? Pourquoi cherches-tu le vivant parmi les morts, toi qui as perdu l’espérance et toi qui te sens prisonnier de tes péchés ? Pourquoi cherches-tu le vivant parmi les morts, toi qui aspires à la beauté, à la perfection spirituelle, à la justice, à la paix ?
Nous avons besoin de nous entendre répéter et de nous rappeler mutuellement l’avertissement de l’ange ! Cet avertissement, « pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts », nous aide à sortir de nos espaces de tristesse et nous ouvre aux horizons de la joie et de l’espérance. Cette espérance qui déplace les pierres des tombeaux et qui encourage à annoncer la Bonne nouvelle, capable d’engendrer les autres à une vie nouvelle. Répétons cette phrase de l’ange pour l’avoir dans notre coeur et dans notre mémoire et ensuite, que chacun réponde en silence : « Pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts ? » Répétons-la.
Voyez, frères et soeurs, il est vivant, il est avec nous ! N’allons pas vers tous ces tombeaux qui, aujourd’hui, te promettent quelque chose, la beauté, et qui, ensuite, ne te donnent rien !
Il est vivant ! Ne cherchons pas le vivant parmi les morts !
Pape François, Audience Générale, place Saint-Pierre à Rome, mercredi 23 avril 2014
ÉVANGILE DE JÉSUS CHRIST selon saint Luc Le premier jour de la semaine, à la pointe de l’aurore, les femmes se rendirent au tombeau, portant les aromates qu’elles avaient préparés. Elles trouvèrent la pierre roulée sur le côté du tombeau. Elles entrèrent, mais ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus. Alors qu’elles étaient désemparées, voici que deux hommes se tinrent devant elles en habit éblouissant. Saisies de crainte, elles gardaient leur visage incliné vers le sol. Ils leur dirent : « Pourquoi cherchez-vous le Vivant parmi les morts ? Il n’est pas ici, il est ressuscité. Rappelez-vous ce qu’il vous a dit quand il était encore en Galilée : “Il faut que le Fils de l’homme soit livré aux mains des pécheurs, qu’il soit crucifié et que, le troisième jour, il ressuscite.” » Alors elles se rappelèrent les paroles qu’il avait dites. Revenues du tombeau, elles rapportèrent tout cela aux Onze et à tous les autres. C’étaient Marie Madeleine, Jeanne, et Marie mère de Jacques ; les autres femmes qui les accompagnaient disaient la même chose aux Apôtres. Mais ces propos leur semblèrent délirants, et ils ne les croyaient pas. Alors Pierre se leva et courut au tombeau ; mais en se penchant, il vit les linges, et eux seuls. Il s’en retourna chez lui, tout étonné de ce qui était arrivé. Lc 24, 1-12
Christ est ressuscité ! Il est vraiment ressuscité !! Comment transmettre cette joie de la Résurrection autour de soi et dans le monde ?
LAUDATO SI « Le dimanche est le jour de la résurrection, le « premier jour » de la nouvelle création, dont les prémices sont l’humanité ressuscitée du Seigneur, gage de la transfiguration finale de toute réalité créée. » (LS n°237)
COMMENTAIRE
Les femmes ont trouvé le tombeau vide. Jésus est ressuscité. Nous le savons d’après le témoignage des apôtres, qui ont vu Jésus vivant. Jésus est mort sur une croix. Mais tout n’était pas fini car trois jours plus tard, ses amis voient Jésus vivant. Dieu l’a ressuscité ! C’est une Bonne Nouvelle qui nous dit que la vie est plus forte que la mort. Cette croix nous parle de la vie, elle nous rappelle que Jésus est ressuscité et vivant, elle est comme un trésor !
ÉVANGILE DE JÉSUS CHRIST selon saint Jean Or, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la soeur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui. Après cela, sachant que tout, désormais, était achevé pour que l’Écriture s’accomplisse jusqu’au bout, Jésus dit : « J’ai soif. » Il y avait là un récipient plein d’une boisson vinaigrée. On fixa donc une éponge remplie de ce vinaigre à une branche d’hysope, et on l’approcha de sa bouche. Quand il eut pris le vinaigre, Jésus dit : « Tout est accompli. » Puis, inclinant la tête, il remit l’esprit. Comme c’était le jour de la Préparation (c’est-à-dire le vendredi), il ne fallait pas laisser les corps en croix durant le sabbat, d’autant plus que ce sabbat était le grand jour de la Pâque. Aussi les Juifs demandèrent à Pilate qu’on enlève les corps après leur avoir brisé les jambes. Les soldats allèrent donc briser les jambes du premier, puis de l’autre homme crucifié avec Jésus. Quand ils arrivèrent à Jésus, voyant qu’il était déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes, mais un des soldats avec sa lance lui perça le côté ; et aussitôt, il en sortit du sang et de l’eau. Jn 19, 25-34
COMMENTAIRE
Après son arrestation et sa condamnation, Jésus a porté la croix jusqu’au Golgotha. Là, il meurt sur la croix. Il a donné sa vie pour nous. Jésus en croix nous sauve ! La croix, instrument du supplice de Jésus, est devenu le signe parfait de l’amour de Dieu. « Car Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. » (Jean 3, 17) Ainsi sur la croix, Jésus meurt entre deux bandits en portant toutes les fautes, chargé du poids de toutes les accusations. Il nous libère du péché et nous délivre du mal et de la mort. Notre misère est enveloppée de la miséricorde de Dieu manifestée sur la croix : « Dieu avec nous ».
Dans les épreuves de la vie, le Seigneur est mon refuge, ma force. Comme Jésus en croix, est-ce que je me tourne vers le Père avec confiance ?
LAUDATO SI « Quel genre de monde voulons-nous laisser à ceux qui nous succèdent, aux enfants qui grandissent ? (…) Nous sommes, nous-mêmes, les premiers à avoir intérêt à laisser une planète habitable à l’humanité qui nous succédera. C’est un drame pour nous-mêmes, parce que cela met en crise le sens de notre propre passage sur cette terre. » (LS n° 160)
ÉVANGILE DE JÉSUS CHRIST selon saint Jean Avant la fête de la Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde à son Père, Jésus, ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout. Au cours du repas, […] il se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge qu’il avait à la ceinture. […] Quand il leur eut lavé les pieds, il reprit son vêtement, se remit à table et leur dit : « Comprenez-vous ce que je viens de faire pour vous ? Vous m’appelez “Maître” et “Seigneur”, et vous avez raison, car vraiment je le suis. Si donc moi, le Seigneur et le Maître, je vous ai lavé les pieds, vous aussi, vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. C’est un exemple que je vous ai donné afin que vous fassiez, vous aussi, comme j’ai fait pour vous. » Jn 13, 1-15
COMMENTAIRE
Lors de son dernier repas avec ses amis, Jésus leur a transmis deux gestes que nous faisons toujours aujourd’hui :
Il a lavé les pieds de ses apôtres pour signifier que nous devons être au service les uns des autres et que c’est comme cela que l’on peut être heureux ;
Il a béni et partagé le pain et le vin en leur disant : « Ceci est mon corps, ceci est mon sang, vous ferez cela en mémoire de moi. » Nous continuons à partager le pain et le vin en mémoire de lui à chaque Eucharistie. Après ce repas, Jésus est allé prier avec ses disciples au jardin des oliviers, où il a été arrêté.
Comment puis-je orienter ma vie vers le service des autres ?
Pourquoi les cloches se taisent le Jeudi Saint ? La tradition des cloches de Pâques remonte au VIIe-VIIIe siècle en Europe. Toutes les cloches, sur ordre de l’Église, arrêtent de sonner, y compris les clochettes d’autels, en signe de deuil entre le Jeudi Saint et le dimanche de Pâques, pour commémorer la mort de Jésus-Christ. Il faut attendre le matin de Pâques pour entendre à nouveau le son des cloches, à toute volée, annoncer la résurrection du Christ et la joie pascale. Une légende raconte que durant ces jours de silence, les cloches partent à Rome pour être bénies et reviennent chargées d’oeufs en chocolat, qu’elles déversent dans les jardins pour les enfants sages.
Le sanctuaire Notre-Dame du Roncier de Josselin vous invite à participer nombreux à la journée mariale du samedi 2 avril 2022. « Au pied de la Croix de Jésus se tenait Marie, Sa Mère » (Jn 19, 25)
Officiel : Décret d’utilisation de l’édition 2021 du Missel romain. Communiqué du diocèse. Actualité : Assemblée plénière : interview de Mgr Centène. Synode mode d’emploi. En bref – En images. Diaconie : Journée pour les agriculteurs partis trop tôt. Terres d’espérance, semences d’Évangile. Vie spirituelle : Question spirituelle. Saint Joseph, fils de David. Vie du diocèse : Pôle jeunes. Quoi de neuf ? Patrimoine et foi : Notre Sauveur est né aujourd’hui !
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Revue n°1514, novembre 2021
Officiel : Nominations – Communiqué du diocèse Actualité : Le synode de l’Église toute entière lancé dans le diocèse. Rapport de la CIASE. Journée mondiale des pauvres : ouvrons nos coeurs ! Nouvelle traduction du missel romain. En bref – En images. Dossier : Accompagner la mort. Vie spirituelle : Question spirituelle. Saint Joseph, patron de la bonne mort. Vie du diocèse : Athénée, des parcours pour se former. Pèlerinage à Lourdes. Patrimoine et foi: Histoire du diocèse. Sainte Cécile.
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Revue n°1513, octobre 2021
Officiel : Nominations – Rapport de la CIASE – Confiées à nos prières. Conseil presbytéral, retour sur une session singulière. Actualité : Jean-Paul II à Sainte-Anne-d’Auray : 25 ans. Premier Pardon des bénévoles. Notre-Dame de Victoire, un nouveau sanctuaire dans le diocèse. Ordinations diaconales, configurés au Christ serviteur. En bref, en images. Mission : Départ pour la mission avec la DCC – Mgr Plumey. Vie du diocèse : 100e anniversaire du couronnement de saint Joseph. Quoi de neuf ? Culture : Luigi et Maria Beltrame Quattrocchi – Des livres à découvrir. Vie spirituelle : Question spirituelle – Saint Joseph très chaste. Patrimoine et foi : Histoire du diocèse. Missions paroissiales et taolennoù.
Revue n° 1512, septembre 2021
Spécial pardon des bénévoles
Mgr Centène : le rôle des bénévoles est essentiel dans l’Église et la société. Au service des bénévoles. Se ressourcer. Les bénévoles au coeur de l’Église : Accueil. Animation. Prière. Parole de Dieu. Charité. Matériel – Finances. Question spirituelle – Joseph, serviteur fidèle. Prière du bénévole.
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Revue n°1511, juillet-août 2021
Officiel : Agenda de Mgr Centène. Communiqué des évêques de France. Confiés à nos prières. Actualité : En bref. En images. Appelés au service. Vie spirituelle : Question spirituelle – Joseph, père dans l’accueil. Vie du diocèse : Mère Yvonne-Aimée de Malestroit, la cause de béatification progresse. Première journée mondiale des grands-parents et des personnes âgées. Breiz Santel, faire vivre et parler les pierres. Parcours de soin et accompagnement des malades. Quoi de neuf ? Vacances : Une page pour les enfants. À lire cet été ! Patrimoine et foi : Le petit patrimoine des croix de chemin. Saint Jacques.
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Revue n°1510, juin 2021
Officiel : nominations. Ordonnances des nouveaux doyennés. Confiés à nos prières. Actualité : Communiqué des évêques de France Question spirituelle – Saint Joseph figure paternelle. Nouveau ministère : catéchiste En bref – En images. Dossier : Paroisses : retour aux Actes. Vie du diocèse : Quoi de neuf ? Patrimoine et foi : Feux et pétards. Saint Jean-Baptiste.
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Revue n°1509, mai 2021
Officiel : Ordonnances des nouveaux doyennés. Agenda de Mgr Centène. Le Verbe de Vie quitte le Morbihan. Confiés à nos prières. Actualité : Mgr Centène, la paternité de Dieu donne corps à la fraternité. En bref. En images. Dossier : Terre bretonne, transmission et mission. Rencontre : La maison Thalita Koum. Vie spirituelle : Question spirituelle – Saint Joseph époux de Marie. Culture : À lire ! Vie du diocèse : Quoi de neuf ? Agenda. Patrimoine : Représentations de la Visitation dans le Morbihan.
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Revue n°1508, avril 2021
Officiel : Agenda de Mgr Centène. Assemblée des évêques. Parole d’évêque. Actualité : En conscience – Interview Dr Guillaume Degenne Formation : Le travail est-il une malédiction ? Saint Joseph travailleur. Rencontre : Baptisés et envoyés. Vie du diocèse : Visite pastorale. Le mariage : un don ! L’Action catholique en formation. Patrimoine : Origine et avenir des pardons – Saint Georges
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Revue n°1507, mars 2021
Officiel : Agenda de Mgr Centène. Parole d’évêque. Actualité : Unis contre la loi séparatisme. Denier de l’Église. Formation : Pourquoi ma prière ne marche pas ? Joseph le silencieux. Accompagner un catéchumène africain. Dossier : Lire la Parole de Dieu. Mission : En côte d’Ivoire Vie du diocèse : Auprès des plus fragiles. Rencontre : A toute volée ! Patrimoine : Les sept paroles du Christ en croix.
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Revue n°1506, février 2021
Officiel : Année des grands-parents et des personnes âgées. Assemblée des doyens. Actualité : Session provinciale : la paternité spirituelle. Formation : Jésus a-til vraiment été tenté ? Vie du diocèse : Foi et lumière : toute personne est digne d’être aimée. Rencontre : Père Benoît, abbé de Timadeuc. Patrimoine : Les cinq basiliques du diocèse…
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Revue n°1505, janvier 2021
Actualité : Quatre jours de jeûne et de prière pour la bioéthique. Spiritus Domini, le motu proprio du pape. Dossier : Etre jeune en 2021 – La charité n’est pas une option ! Confinement missionnaire à Rohan. Mission : Le père Gabriel de Lépinau poursuit sa mission à Madagascar. Trois soeurs missionnaires malgaches à Locmiquélic. Formation : Le plaisir est-il interdit au chrétien ? Vie du diocèse : Forum missionnaire Christus vivit. Secours catholique : état de la pauvreté en France. CCFD-TS : toujours mobilisés ! Patrimoine : Saint Vincent de Saragosse. Des vignes dans le Morbihan ?
Embarquez avec la journaliste Emilie Denizet, en quête des pépites de la foi dans l’Ouest ! Trois épisodes pour vitaminer votre ascension vers Pâques. Un magazine vidéo diffusé sur YouTube trois mercredis du Carême à 18 h et réalisé par le diocèse de Vannes en partenariat avec RCF Sud Bretagne.
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