

Contact
Bernard LE MENE, à Malestroit : 06.80.07.27.32
Rendez-vous dès 20 h 30 sur la chaîne YOU TUBE du Diocèse pour assister, en direct de la Maison du Diocèse – Espace Montalm (Vannes), à la conférence du Père Cédric Burgun sur « Amoris Laetitia ».
Au cas où, pour de multiples raisons, vous ne pourriez accéder à cette diffusion en direct, vous pouvez visionner la conférence du Père Cédric Burgun, donnée ce même jour à 14 h 30.
Visionner la conférence de 14 h 30
Dimanche 19 juin, à Sainte Anne d’Auray, par l’imposition des mains et le don de l’Esprit-Saint, Monseigneur Raymond Centène ordonnera prêtres 7 diacres : Patience Aimé BONDEKO (en stage à Guer), Joseph DO (en stage à Malestroit), Xavier LAPORTE-WEYWADA (en stage à Ploërmel), Jean-Charles NICOLLEAU (en stage à Lorient et au service de MéMO – mission étudiante), Jean du PARC (aux études à Rome, en stage à Vannes – paroisse Saint Patern), Jean-Paul SOSSAH (en stage à Arradon) et Jean-Marie SUREL (aux études à Rome, en stage à Port-Louis), tous âgés entre 30 et 40 ans.
Monseigneur Raymond Centène nous adresse ce message :
Fidèles baptisés, religieux et religieuses, personnes en questionnement,… : peuple de Dieu, participons nombreux à cet évènement exceptionnel, et accompagnons les 7 futurs prêtres que Dieu donne à notre Église de Vannes.
Durant tout le week-end, plusieurs propositions nous permettront de vivre pleinement, dans la joie et la ferveur, cette communion diocésaine, autour de notre Évêque Monseigneur Raymond Centène :
Le Secours Catholique-Caritas France fête ses 70 ans ! Avec 4000 autres personnes, venez vivre un véritable moment de fraternité dimanche 5 juin au Parc des expositions de Pontivy, lors de cette journée anniversaire exceptionnelle.
En savoir plus et s’inscrire en ligne sur le Site internet de l’évènement
9 h 00 : départ des « Marches fraternelles » convergentes vers Pontivy
12 h 00 : Apéritif breton festif, pique-nique, visite des expositions
14 h 00 : Temps de parole et d’expression sur le « Chemin » du Secours Catholique – Caritas France, hier, aujourd’hui et demain.
(Animation pour les enfants de 3 à 15 ans, Nurserie pour les 0-3 ans)
16 h 00 : Célébration Eucharistique avec la présence des évêques bretons
18 h 00 : Envoi festif
Dimanche 17 avril, la FCPMH – Fraternité Chrétienne des Personnes Malades et Handicapées fête 70 ans d’amitiés, de rencontres, de vies remises « debout ». Le mouvement de « la Frat' » a démarré à Verdun des liens fraternels entre plusieurs personnes malades dont le Père Henri François, atteint de tuberculose. La première rencontre dans le Morbihan a lieu en 1954 à Lorient, puis à Malestroit. Dans les années 50, de secteur en secteur, des équipes se développent, jusqu’à couvrir l’ensemble du diocèse.
« Je ne suis plus allongée mais assise »
Témoignage de Josée, de Malestroit dans le bulletin de la FCPMH « Unis » n°64.
« Pendant 27 ans allongée ! J’étais très entourée, chouchoutée, beaucoup d’amis valides. Je ne voulais pas être dérangée dans ma petite vie tranquille. J’ai eu beaucoup de mal à sortir de cette mentalité d’assisté. Je répétais toujours ‘je ne peux rien faire toute seule’. Ce qui m’en a fait sortir ? Une conversation avec l’aumônier de la Fraternité et une Session où j’ai accepté d’aller… sur mon tringlot ! … Là j’ai vu… J’ai entendu… et j’ai enfin accepté d’aller vers les autres. Avec eux nous animons tout le secteur depuis 1955 et ça continue. Je ne suis plus « allongée » mais « assise ». Et ça y va… ».
« Quelque chose change en moi »
Témoignage de Hervé, victime d’un grave accident du travail et suite à un long coma. « Unis » n°72
« En arrivant à la ‘Frat-Jeunes’, j’ai été frappé par l’accueil formidable… Ils m’acceptent tel que je suis, ils m’écoutent et ils me comprennent. (…) Quelque chose change en moi. Je sors de ma torpeur. Je sens que je peux m’en sortir à condition de vivre cette Fraternité. D’autres rencontres extraordinaires me donneront, avec la joie de revivre, le souci des autres. Je ressens en moi la Parole de Dieu : « Va vers tes frères et porte cette joie que je t’ai fait découvrir ».
« J’ai commencé à devenir une personne debout »
Témoignage de Renée, de Lorient, « Unis », 1986
« Au cours d’un voyage à Lourdes en 1954, j’ai rencontré de nombreux malades et handicapés dont Marie-Louise Bienvenu de Lorient qui a lancé la Fraternité dans le Morbihan. Elle m’a bien sûr contactée. Jusque là, je ne sortais qu’avec mes parents. A partir de là j’allais au local loué à Lorient pour la FCPMH. (…)
Ces années m’ont permis de découvrir l’Évangile et de comprendre que la Fraternité c’est la vie fraternelle basée sur l’Évangile. (…)
Durant les réunions, nous parlons de faits de notre vie de handicapés, nous les réfléchissons à la lumière de l’Évangile et nous essayons d’agir. Peu à peu, j’ai senti que, moi aussi je prenais ma vie en main. J’ai commencé à être responsable de ma personne, à devenir une personne debout…
Malgré les difficultés qui sont les miennes, j’ai passé mon permis de conduire et ai équipé ma voiture (conduite automatique). J’ai pris aussi un travail à domicile. Ce qui fait que, d’une personne assistée, je suis devenue une personne autonome ; et cela je peux le dire, grâce à la Fraternité ».
Vous souhaitez recevoir le dossier d’inscription. Pour que nous puissions vous l’adresser, merci de remplir ce formulaire en précisant votre adresse, …
« Jésus-Christ, incarnation de la miséricorde de Dieu, est mort par amour sur la croix, et, par amour, est ressuscité. C’est pourquoi nous proclamons aujourd’hui : Jésus est le Seigneur ! » (Pape François)
Lire la bénédiction Urbi et Orbi du Pape François – Pâques 2016
« J’ai le sentiment d’avoir deux vies : celle d’avant et celle d’aujourd’hui », explique Iris. A 30 ans, cette jeune maman sera baptisée lors de la prochaine Vigile pascale. Transformation, conversion, renaissance, … Des mots pour traduire l’insaisissable mystère d’une existence qui bascule.
« Guéris-moi ! »
Atteinte d’une maladie rénale dégénérative, Iris a vécu cette angoisse, terrible, de voir son état de santé se dégrader. Un jour, tandis qu’elle faisait du tourisme à Paris, la jeune femme pénètre dans la cathédrale Notre Dame. Si l’architecture et le patrimoine religieux l’ont toujours fascinée, c’est aussi par ce que la foi est capable de faire réaliser aux hommes : les vitraux, les églises,… « Toutes ces heures passées, ces vies entières, … Comment une personne peut-elle croire en Dieu au point de se tuer à la tâche pour fabriquer de tels édifices ? » s’interroge-t-elle.
Sous les voûtes de ce joyau gothique, cernée par les chefs d’œuvre des maîtres verriers, et malgré ses distances vis-à-vis d’une religion dont elle ignorait tout, Iris se surprend à prier. « Puisque tu peux tout faire, guéris-moi ! ». Entre effronterie et inquiétude, elle mettait ainsi Dieu à l’épreuve.
Peu de temps après cet épisode, les résultats de ses analyses médicales connaissaient une très nette amélioration. Simple coïncidence ? Et si….
Du doute à la foi
A quelques pas de la Chapelle-Gaceline où elle réside, encore Notre-Dame… La chapelle Notre-Dame de Fondelienne. Attirée par ce lieu, toujours ouvert, Iris y entre souvent. Elle en ressort toujours avec quelques exemplaires de la revue « Magnificat », laissés là, un peu comme en libre-service. « Je les prenais et les ramenais après les avoir lus ».
Maintes appréhensions ont jalonné le parcours d’Iris, vers le baptême. « Personne n’est chrétien dans ma famille. Je me demandais comment cela allait se passait. J’avais peur d’être jugée, que ma vie privée soit passée au crible. Je me demandais aussi si ma vie d’avant allait être compatible avec la nouvelle vie que je désirais…. ».
Si les premières pierres sont posées, tout est encore à construire pour la jeune femme. « Je n’aurais jamais pu faire ça toute seule, sans Thérèse ». Le regard qu’Iris pose alors sur Thérèse, son accompagnatrice depuis deux ans, est éloquent. Un lien profond unit les deux femmes. Iris se souvient encore de son anxiété, le jour où, commençant à composer le numéro de téléphone donné par le presbytère, elle raccrocha le combiné à deux reprises avant d’aller au bout !
Accompagnée par Thérèse, Iris se sent progressivement plus forte ; la soif de découvrir l’emporte. » J’ai lu peut-être 6 ou 7 fois le Nouveau Testament ; ce sont les propres paroles de Jésus, transmises par ses disciples ! » s’émerveille-t-elle. Elle aime également réciter la prière du Notre Père en araméen. « C’est fou de penser que c’est la prière telle qu’il l’a dite, ce sont ses mots à lui ! Quand je lis le Nouveau Testament, j’essaie de me mettre à la place d’une personne qui l’accompagne… Je me sens très proche… ».
« Tout est possible »
Comment cette jeune femme, qui considérait les choses avec tant d’ironie jadis, s’est-elle laissée imprégner ? Iris était en effet volontiers ironique vis-à-vis des traditions religieuses, « opium » selon le terme de Marx, traduisant davantage une peur de la mort. Pour elle, » la mort, c’était le néant, il n’y avait rien derrière ; elle était comme une extinction de la personne, de la même façon que nous n’avons pas conscience d’exister avant de naître ».
Quel saut ! Car aujourd’hui sa foi semble inébranlable : une adhésion inconditionnelle et sans réserves. « Je peux croire à tout ce qui est écrit dans la Bible ; tout est vrai ! A partir du moment où Dieu existe, tout est possible : la résurrection des morts, etc… ». Elle qui redoutait tant les cimetières et voit aujourd’hui dans la mort un passage. « Ni peur, ni tristesse. Ma vision de la mort a radicalement changé ! ».
A présent qu’elle a découvert Dieu, quelque chose s’est renversé. « Les chrétiens vivent selon Dieu Créateur : ce que je pensais jadis être une faiblesse s’avère être une force ». Et de conclure, sereine et habitée : » La vie est faite de choix. Le seul choix, c’est de choisir Dieu, c’est le choix parfait, sans risque ! Lui seul sait ce qui est bon pour nous. »
Mardi saint, des fidèles affluant de tout le diocèse ont participé nombreux à la messe chrismale, « dans laquelle s’enracinent toutes les célébrations sacramentelles de l’Église ». Avec ferveur, tous ont prié pour les baptisés, les confirmands, les ordinands et les malades qui recevront l’onction lors des sacrements, qui les unissent et les configurent au Christ.
« L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction ».
En cette année jubilaire de la Miséricorde, les prêtres, les diacres et séminaristes entourant l’Évêque ont pénétré dans la Cathédrale en franchissant la Porte Sainte.
« Inspire-nous les gestes de réconciliation et les œuvres de miséricorde à accomplir ».
Au cours de la messe, les prêtres ont renouvelé les promesses de leur ordination sacerdotale, demandant à Dieu Ses grâces pour toujours mieux servir le peuple qui leur est confié.
Messe « fondatrice pour tout le peuple sacerdotal », la messe chrismale est l’occasion pour chaque fidèle de « mieux saisir la dimension sacerdotale de toute vie chrétienne », a développé Monseigneur Raymond Centène dans son homélie. « Chaque chrétien a à exercer quotidiennement le sacerdoce baptismal, en agissant dans le monde à la manière de Jésus, en transmettant au monde grâce et bénédiction, au nom de Dieu ».
« Ensemble, soyons témoins de l’espérance, attentifs au respect de la dignité de chacun et audacieux pour veiller sur les dons de Dieu ; les dons naturels – la vie, le couple, la famille, la justice sociale, le respect de la création – et les dons surnaturels – la révélation, la grâce, le salut. Que l’Esprit Saint guide chacun, qu’il embrase de charité le cœur des croyants et nous rende capable de communiquer autour de nous la joie de l’Évangile, la joie d’être sauvés dans sa miséricorde ».
Du Dimanche des Rameaux à la Vigile pascale, nous vivons la Semaine Sainte. A la suite du Seigneur, nous prenons son chemin d’abaissement et nous nous abandonnons à la Miséricorde. Les grands offices liturgiques nous conduisent à revivre le mystère de la Pâque de Jésus : manifestation de la miséricorde de Dieu, mystère de l’amour infini qui nous sauve.
Cette semaine est véritablement au cœur de notre foi et de notre existence. Par sa mort et sa résurrection, Jésus-Christ triomphe du péché et de la mort ; Il fait de nous des créatures nouvelles, participant à Sa vie ; Son règne vient…
« Pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. » (Jn 15, 13)
« C’est en regardant vers Sa croix, en revivant sa Passion comme nous venons de le faire que nous pouvons comprendre à quel point Il nous a aimés » a introduit Monseigneur Raymond Centène lors du Chemin de Croix qu’il présidait à Callac, le dimanche des Rameaux. Nous ne devons jamais oublié que la Passion a été une Passion d’amour ».
Lire la suite de sont intervention.
Le Triduum Pascal
A l’issue de la messe de la Sainte Cène, jeudi, le Saint Sacrement est porté au Reposoir : nous suivons le Seigneur au Mont des Oliviers, où commence son agonie jusqu’à sa mort sur la Croix, que nous célébrons le vendredi saint lors du chemin de croix, puis lors de l’Office de la Passion. Les cloches ne sonneront plus jusqu’à la Vigile pascale, nuit de la résurrection du samedi saint au dimanche de Pâques.
Avec les catéchumènes (dans notre diocèse, ce sont 38 adultes et de très nombreux enfants et adolescents dans les paroisses), plongés dans la mort et la résurrection du Christ, nous renaissons : Alléluia, Christ est ressuscité !
Messes, offices, adoration le jeudi saint, chemins de croix, confessions, veillées, … :
Pour connaître tous les lieux et les horaires de la Semaine Sainte près de chez vous,
Sainte-Anne d’Auray est dotée d’un ensemble historique de bâtiments, édifiés du XVIIe au XIXe siècle autour de sa basilique et qui, depuis des siècles, abrite une vie spirituelle qui se décline au sanctuaire de Sainte-Anne d’Auray.
Elle est complétée depuis 1999 par un enseignement artistique porté par l’Académie de Musique et d’Arts Sacrés.
La Fondation Louis Cadic, Musique et Arts Sacrés en Bretagne a pour vocation le soutien financier au projet immobilier engagé sur ces bâtiments ainsi que le soutien aux actions culturelles de l’Académie. Ce projet est nommé « Héritiers, devenez bâtisseurs ».
Le Dimanche des Rameaux est tel un « grand portique »*, nous introduisant dans la dynamique de la Semaine Sainte. La liturgie de ce dimanche met en lumière ces deux aspects du mystère pascal qu’il nous faut tenir ensemble : la Passion et le triomphe du Christ, chemin d’abaissement et d’exaltation.
« Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni le Règne qui vient, celui de notre père David. Hosanna au plus haut des cieux ! ».
« Hosanna » (hébreu) peut être traduit : « sauve donc ! » ou « sauve maintenant ! ». En processionnant, rameaux bénits à la main, nous empruntons le chemin – Jésus – pour monter vers le Dieu vivant. Ainsi commence la semaine sainte : une semaine pour élever nos cœurs.
* Homélie du Pape Benoît XVI – 1er avril 2012 : « Le Dimanche des Rameaux est le grand portique qui nous introduit dans la Semaine Sainte, la semaine où le Seigneur Jésus s’achemine vers le sommet de sa vie terrestre ».
Retrouvez tous les horaires des célébrations sur egliseinfo.catholique.fr
A 15 h 00, rejoignez le grand Chemin de Croix des Rameaux à Callac, en Plumelec, présidé par Monseigneur Raymond Centène.
Les baptisés adultes qui demandent la confirmation se sont retrouvés à Locminé, autour de Monseigneur Raymond Centène. « Rayonnant de la joie pascale », aux côtés de leurs accompagnateurs, tous ont pu toucher la dimension ecclésiale de leur démarche. Au cours de la célébration eucharistique, l’évêque a procédé à l’appel de chacun à recevoir le sacrement de confirmation.
Enseignements, méditation personnelle, partage, sacrement du pardon, rencontre avec un prêtre, Eucharistie, … Cette journée de récollection dédiée aux confirmands adultes est venue nourrir leur dernière ligne droite avant le Jour-J.
Le matin, le Père Francis Loisel, prêtre accompagnateur, a éclairé le sens du sacrement de réconciliation par l’Amour miséricordieux du Père. « La réconciliation, c’est un peu comme si Dieu nous enveloppait de ses bras avec beaucoup de tendresse. (…) Le Pardon n’est pas le fruit de nos efforts, c’est un cadeau, un don de l’Esprit Saint qui nous comble dans le bain de la Miséricorde et de la Grâce qui coule du Cœur du Christ crucifié et ressuscité. (…) C’est le Père qui fait le premier pas de la réconciliation. Il nous invite à l’accueillir comme une grâce, un « don », une « source » de joie dans notre propre vie, pour grandir, avancer et même nous dépasser ».
En s’appuyant sur l’appel reçu par Moïse dans le livre de l’Exode (Ex 3 ; 4, 1-5), Monseigneur Centène a mis en lumière « la pleine vérité de l’appel de Dieu » , appel particulièrement signifié dans les sacrements de l’initiation chrétienne. « Moïse est attiré par quelque chose qui l’intrigue ; quelque chose attire son attention et sa curiosité. Et moi ? Qu’y avait-il au point de départ de l’appel que j’ai entendu ? Un événement, une personne, des circonstances…. ? ». Invités à s’exprimer à l’issue de l’ intervention de l’Évêque, ce premier point a suscité de nombreux rebonds, réactions, échanges de la part des confirmands. Ils ont pu évoquer quel avait été pour eux ce fameux « point de départ ».
Après cette première expérience de l’interpellation, Monseigneur Centène a conduit leur réflexion plus en profondeur : » il faut avancer, se situer au niveau de notre liberté appelée à répondre : « Me voici » ». Cet appel de Moïse révèle que lorsque nous nous montrons disponibles – contourner le buisson, enlever ses chaussures, … – Dieu nous révèle Son cœur, ce qui touche Son cœur (…) Il nous invite à participer à son œuvre, œuvre de libération, œuvre de miséricorde ».
Monseigneur Centène a donné un certain nombre de balises, pour guider les futurs confirmés dans la réponse à donner à l’appel reçu : « Dieu appelle pour une mission. Laquelle ? Dieu m’appelle, à quoi faire ? (…) Dieu dit : « Qu’est-ce que tu as entre les mains ? » Quels sont tes talents ? Que savons-nous faire ? (…) « Je n’ai pas la parole facile ». Moïse fait allusion à un manque d’aptitude. Nous aussi, face aux appels, nous pensons à nos manques d’aptitudes. Mais il ne faut pas qu’un manque d’aptitude devienne un alibi pour ne pas répondre ».
La messe lors de laquelle les confirmands ont été appelés par Monseigneur Centène est intervenue comme un point d’orgue. « Un beau moment d’échange et de rencontre authentique entre eux et l’évêque, prélude à une intensité de communion très perceptible lors de la la célébration eucharistique, de l’appel, et ensuite du temps de l’au-revoir », témoigne Marie-France Françoise, déléguée diocésain au service de Catéchuménat.
Deux rendez-vous pour avoir un discours différent sur la sexualité et l’amour humain :
En cas de force majeure, possibilité de garderie : pastoralefamiliale@diocese-vannes.fr
Aperçus en vidéo :
A travers cette initiative, l’équipe de Diaconie 56 vous propose d’oser partager… vos coups de coeur, coups de gueule, coups de pardon, coups durs, coups de miséricorde ! Vous pouvez télécharger la carte postale et la renvoyer par courrier ou remplir le formulaire en ligne ci-dessous. Merci d’avance !
Les Exercices Spirituels, de Saint Ignace sont une expérience forte de Dieu dans un climat d’écoute de sa Parole en vue d’une conversion et d’un don toujours plus total au Christ et à l’Église » (art. 2).
« Proposer les Exercices Spirituels signifie inviter à une expérience de Dieu, de son amour, de sa beauté. Qui vit les Exercices de manière authentique fait l’expérience de l’attraction, de la beauté de Dieu et revient renouvelé, transfiguré à la vie ordinaire, au ministère, aux relations quotidiennes, en portant avec lui le parfum du Christ.
Les hommes et les femmes d’aujourd’hui ont besoin de rencontrer Dieu, de le connaître personnellement « pas par ouï-dire » (cf. Jb 42, 5). Des lieux privilégiés pour une telle expérience spirituelle sont les Maisons de spiritualité qui offrent des espaces et des temps d’écoute intense de sa Parole dans le silence et dans la prière. Toutefois, n’oublions jamais que c’est le Saint-Esprit qui joue le premier rôle dans la vie spirituelle. Il soutient chacune de nos initiatives de bien et de prière.
Un bon cours d’Exercices Spirituels contribue à renouveler chez ceux qui y participent l’adhésion inconditionnée au Christ, et aide à comprendre que la prière est le moyen irremplaçable d’union à Lui crucifié : pone me iuxta te ! (Pape Francois, mars 2014)
En ce Jubilé de la Miséricorde, les Exercices sont un lieu propice pour accueillir « la Miséricorde de Dieu qui transforme le cœur de l’homme et le fait expérimenter un amour fidèle qui rend capable d’être à son tour miséricordieux » (Pape François).
Dimanche 14 février, premier dimanche de Carême, les catéchumènes adultes du diocèse ont répondu « me voici » à l' »appel décisif » de Monseigneur Centène, en l’église Saint Gaudence d’Allaire. Après avoir été revêtus de l’écharpe mauve, ils sont venus inscrire leurs noms sur les registres des futurs baptisés. Cette cérémonie où ils se retrouvent tous ensemble autour de l’Évêque leur donne déjà un avant goût de la communion à laquelle Dieu les attire. Commence pour eux l' »ultime préparation » qui les conduira à la Vigile pascale, lors de laquelle ils recevront les sacrements de l’initiation chrétienne.
« De tout votre cœur, efforcez-vous de parvenir à la pleine vérité de cet appel ».
Prochaine étape, le 5 mars prochain : les catéchumènes, accompagnés de leur parrain, marraine et accompagnateurs, se retrouveront pour l’ultime préparation, dernière étape de leur parcours catéchuménal.
Carême dans la Ville : retraite spirituelle en ligne
« C’est la miséricorde que je veux » (Mt 12, 7)… Pour nous accompagner dans cette expérience, « Carême dans la Ville » propose :
Vous pouvez aussi poser des questions ou demander à être accompagnés par un frère ou une sœur dominicain. Découvrez également quelle paroisse organise près de chez vous une « rencontre de Carême » et rejoignez d’autres retraitants, pour vivre une rencontre fraternelle et spirituelle.
Du 24 février au 6 mars, Monseigneur Raymond Centène est en « visite pastorale » au Pays de Vilaine, qui compte près de 70 000 habitants, soit 39 paroisses, en 4 doyennés : La Roche-Bernard (en savoir plus), Allaire (en savoir plus), Muzillac (en savoir plus),Questembert-Rochefort en Terre (en savoir plus).
Durant sa visite pastorale, l’évêque va à la rencontre de toute une communauté, afin de mieux connaître ce qui se vit sur un des territoires qui composent son diocèse : joies, difficultés, espérances et défis, …
Théobule : Un site internet et une application iPad
Les enfants ont rendez-vous chaque semaine autour d’un nouveau passage de la Bible.
A travers 3 vidéos : « Bonne Nouvelle » (un extrait de la bible), « A toi la parole » (un commentaire d’enfant) et « La question de Théobule » (une sœur ou un frère dominicain répond à des questions d’enfants)
Mais aussi des jeux et un coin prière.