Rentrée diocésaine : tous disciples missionnaires

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Samedi 11 septembre 2021, à l’occasion de la rentrée diocésaine, une journée de rencontre et partage est organisée à Sainte Anne d’Auray pour tous les bénévoles qui oeuvrent pour l’Eglise.

Monseigneur Centène vous invite :

Programme

9h30 Accueil

10h Intervention de Monseigneur CENTÈNE « De nouvelles structures au service de la mission »

11h MESSE SOLENNELLE

12h30 Repas tiré du sac, apporté par chacun

13h30 ATELIERS ouverts à tous :
● Atelier 1 : « Créer et accompagner des Fraternités missionnaires en paroisse » (animé par le projet missionnaire diocésain ‘Christus vivit’)
● Atelier 2 : au service de « l’animation paroissiale » – correspondants GAP, relais de clochers, conseils pastoraux (animé par service Communication et Art sacré)
● Atelier 3 : au service de la Prière « La liturgie en paroisse » (animé par service Liturgie)
● Atelier 4 : au service de la Parole « Vie sacramentelle et formation » (animé par les services Catéchèse, Catéchuménat et Formation Humaine et Chrétienne)
● Atelier 5 : au service de la Charité « L’attention aux plus petits, aux pauvres et aux malades » (animé par la Diaconie et les servies Santé et Mission universelle)
● Atelier 6 : au service des besoins matériels et financiers (animé par le service Ressources Humaines et la Comptabilité)
● Atelier 7 : « Accueillir et accompagner dans nos paroisses » (animé par le service Famille et la Pastorale du Tourisme et des Loisirs)
● Atelier 8 : « Jeunes, étudiants et vocations » (animé par le Pôle Jeunes, MEMO Mission Etudiante et la pastorale des Vocations)

15h10 Temps commun d’information sur les GAP dans le cadre de la réorganisation des paroisses
15h30 VÊPRES – Envoi

Inscrivez-vous auprès du prêtre de votre paroisse ou en remplissant le formulaire d’inscription ci-dessous

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    Vos nom et prénom (obligatoire)

    Votre e-mail (obligatoire)

    Votre téléphone (obligatoire)

    Votre engagement paroissial

    Votre adresse

    Je serai présent(e) pour l’intervention de l’évêque à 10h ainsi qu’à la messe de11hJe serai absent(e) pour l’intervention de l’évêque à 10h ainsi qu’à la messe de11h

    Et l’après-midi, je m’inscris à l’atelier suivant de 13h30 à 15h :

    CONDITIONS SANITAIRES :

    Pour le matin, dans la basilique – 10h-intervention de Mgr CENTENE puis 11h Messe – ainsi que pour les Vêpres de 15h30 
    : pas de demande du passe sanitaire – Mise en place des conditions habituelles pour les temps cultuels, comme en paroisse : masque et lavage des mains au gel hydroalcoolique.

    Pour le pique-nique : 
    il est prévu qu’il ait lieu en extérieur (repas apporté par chacun). Donc pas d’exigence particulière sinon le respect des distances de précaution.

    Pour les ateliers de 13h30 à 15h10
     : passe sanitaire à présenter / port du masque et lavage des mains au gel hydroalcoolique.
    Parallèlement aux ateliers, une animation sur la mission et le réaménagement pastoral du diocèse sera proposée dans la basilique pour les personnes sans passe sanitaire.

    Ordinations diaconales le 5 septembre prochain

    Dimanche 5 septembre 2021, la Basilique de Sainte Anne d’Auray accueillera la célébration d’ordination de quatre diacres en vue du sacerdoce et un diacre permanent.
    Gildas Colas des Francs, Thibault de Bruyn, Guillaume Porrot et Matthieu Vannier seront ordonnés diacres en vue du sacerdoce, et Michel Hervy diacre permanent.

    Ordinations diaconales 2017

    La cérémonie d’ordination se déroulera à 15 h 30 en la Basilique de Sainte-Anne d’Auray.

    Retrouvez les portraits des ordinands en vidéo ICI très bientôt.

    Gildas
    Thibault
    Guillaume
    Matthieu
    Michel

    Portraits

    Gildas Colas des Francs, 31 ans

    Articles parus dans la revue Chrétiens en Morbihan n°1551 de juillet-août 2021

    Né à Vannes, j’ai grandi à Ploemeur. Dernier d’une famille de trois enfants, j’ai découvert la foi dès mon enfance par la messe dominicale et le catéchisme à l’école.

    Ma vie spirituelle s’est épanouie grâce au scoutisme qui me permettait de vivre chrétiennement de manière incarnée. Je suis sportif, bricoleur, j’apprécie la vie en plein air ; me mettre au service et partager ma vie avec d’autres est un motif de joie.

    Après mon collège à Notre-Dame du Ter et mon lycée à saint Louis de Lorient, je suis parti en classe préparatoire à La Flèche au Prytanée pendant deux ans ; j’y ai découvert de nombreux jeunes hommes épanouis et fiers de leur foi. J’ai terminé ma prépa à Nantes où j’ai rencontré le mouvement charismatique ; la joie issue de la relation à Jésus dans l’Esprit-Saint a été une révélation pour moi. J’ai ensuite intégré une école d’ingénieur à Paris au cours de laquelle j’ai pris des responsabilités de chef scout ou de président d’aumônerie, responsabilités qui m’ont aidé dans le discernement de ma vocation à laquelle je réfléchissais déjà quotidiennement depuis le lycée.

    La joie et la paix dans le service ecclésial ont été pour moi des signes primordiaux pour percevoir l’appel de Dieu. Après une année de propédeutique à Sainte-Anne-d’Auray, j’ai demandé à entrer au séminaire. J’ai étudié pendant quatre ans au séminaire Saint-Yves de Rennes, j’ai vécu ensuite une année dans les quartiers nord de Marseille pour finalement terminer mon cursus à la paroisse de Muzillac.

    « C’est moi qui vous ai choisis » : cette parole de Jésus, reçue après une messe des étudiants à Paris, est consolante pour moi car c’est le Christ qui m’a demandé ce chemin de vie et non l’inverse. La vocation sacerdotale ne faisait pas du tout partie de mes plans, ni dans mon enfance, ni dans mon adolescence. Répondre « Oui » à l’appel ne s’est pas fait sans combats spirituels. Les premières fois, penser à la vocation me faisait peur, accepter d’entendre la question « Veux-tu me suivre dans le sacerdoce ? » a pris plusieurs années mais a, petit à petit, laissé place à une joie authentique.

    Thibault de Bruyn, 28 ans

    Originaire de Plougoumelen, je suis le dernier d’une famille de cinq enfants. Durant mon enfance, c’est grâce à ma famille enracinée dans la foi, particulièrement mes parents attentifs à me faire découvrir le Christ, que j’ai développé une vie chrétienne sur laquelle j’ai pu m’appuyer pour répondre à l’appel du Seigneur.

    Très tôt, je me suis engagé au service de l’autel. C’est là que, pour la première fois, le Seigneur m’a montré ma vocation : je serai prêtre. J’ai laissé mûrir ce désir jusqu’à mes 21 ans où j’ai décidé d’entrer en propédeutique à Sainte-Anne-d’Auray.

    J’ai alors été envoyé au séminaire de Notre-Dame-de-Vie en Provence. J’y ai découvert la spiritualité carmélitaine à l’école du bienheureux Marie-Eugène de l’Enfant Jésus. La place privilégiée de l’oraison dans ma formation m’a permis de placer en premier ma relation avec Dieu et d’avancer ainsi sereinement tout au long de mon parcours. Après deux ans d’un premier cycle de philosophie, j’ai été envoyé en mission en Tunisie. Cette année de rencontre avec le monde musulman m’a marqué ; mon amour pour l’Église Universelle a grandi.

    J’ai pu constater que la pauvreté des moyens, tant humains que spirituels, ne sont pas un frein à la diffusion de l’Évangile pourvu qu’on se laisse conduire par l’Esprit-Saint. De retour en Provence pour achever un cycle de théologie de trois ans, j’ai été envoyé en insertion pastorale dans la paroisse de Tarascon (Bouches-du-Rhône) où j’ai découvert une vie paroissiale dynamique et une communauté chaleureuse et accueillante.

    Enrichi de toutes ces expériences familiales et ecclésiales, je désire aujourd’hui servir le Christ et son Église dans le diocèse de Vannes. C’est en marchant sous la conduite de l’Esprit-Saint, avec tous ceux auprès de qui je serai envoyé, que je compte témoigner de la joie de vivre avec le Christ. Conscient de l’ampleur de la mission, je garde toujours à l’esprit la promesse du Seigneur : « Ma grâce te suffit, car ma puissance donne toute sa mesure dans la faiblesse » (2 Co 12, 9).

    Guillaume Porrot, 38 ans

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    Né en plein coeur de la Bretagne, à Pontivy, j’ai grandi à Saint-Gonnery, dans un foyer chrétien, et une famille aimante, entouré de mes parents, de mon grand-frère et de mes deux petites soeurs. Très souvent, il m’arrivait de prier le chapelet en famille, dans l’oratoire familial. C’est ce qui m’a aidé à approfondir ma relation avec le Christ.

    Dès l’âge de huit ans, je savais déjà que je serais prêtre. C’est à ma grande tante religieuse de Kermaria, que je l’ai annoncé pour la première fois. J’ai continué à nourrir ma foi par la prière et quelques activités en paroisse. Tous les ans, je participais à des camps d’été animés par mon institutrice, également animatrice en pastorale.

    Durant mes jeunes années, mon emploi du temps était déjà bien rempli : football, musique, pêche, balades en vélo, baignade, etc. Cette vie trépidante et l’attrait pour le grand air m’ont conduit à choisir un métier sur les chantiers du bâtiment et des travaux publics. Après l’obtention d’un BTS en 2004, j’ai exercé dans ce domaine durant près de dix ans. J’ai été confronté à de nouvelles réalités, j’ai dû apprendre à collaborer, à dialoguer en équipe, pour mener ensemble des chantiers de construction.

    Alors que je venais d’avoir 31 ans, le Seigneur est venu de nouveau frapper à ma porte. Et c’est après une épreuve familiale, le décès de ma maman en 2014, que j’ai décidé de discerner ma vocation en effectuant les exercices de saint Ignace à la maison Notre-Dame-de-Fatima à Bieuzy-Lanvaux. J’ai alors compris qu’il était temps pour moi de prendre une décision importante.

    Je suis entré en propédeutique en 2015 avant d’être envoyé, l’année suivante, au grand séminaire Saint-Yves de Rennes, afin de poursuivre ma formation.
    « Si nous manquons de foi, lui reste fidèle à sa parole,
    car il ne peut se rejeter lui-même » (2 Tm 2, 13).

    Matthieu Vannier, 27 ans

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    J’ai eu la grâce de naître à Vannes dans un foyer chrétien qui a fait le choix de mettre Jésus au centre de la vie familiale. Trois mois après ma naissance, nous avons déménagé à Plouharnel. J’ai grandi dans ce beau lieu près de la baie de Quiberon où se trouvent nos racines familiales.

    Je suis l’aîné d’une famille de quatre enfants (un frère et deux soeurs). Nous avons vécu beaucoup de belles choses ensemble, du surf à la musique en passant par les beaux voyages en famille. Mais ce que j’ai reçu de meilleur, dans ce milieu porteur, c’est l’amour et la connaissance de Jésus Christ par la messe dominicale et la prière en famille tous les soirs.

    Dans ce terreau, le Seigneur m’a appelé pour la première fois à l’âge de 14 ans. J’ai d’abord gardé ce secret en moi, tout en le mûrissant dans la prière, puis j’ai décidé d’y répondre en intégrant le foyer Saint-Jean-Paul-II à Sainte-Anne-d’Auray, pour mon année de Terminale. Ayant fait le choix de suivre le Christ sur ce beau chemin du sacerdoce, je n’avais néanmoins pas encore le courage de l’assumer devant les autres.

    Après un bac littéraire, j’ai donc commencé des études de psychologie à l’IPC, à Paris. Au milieu de mes études, l’appel à la consécration est devenu plus intense. Je suis alors entré en année de discernement (propédeutique) à Sainte-Anne-d’Auray. Monseigneur Centène m’a ensuite envoyé étudier au séminaire de Notre-Dame- de-Vie à côté d’Avignon.

    Après un premier cycle de philosophie (2 ans), j’ai été envoyé en stage comme éducateur aux Apprentis d’Auteuil pendant 8 mois, en insertion dans la paroisse de Gourin pendant les week-ends. J’ai terminé mon année en découvrant la vie à la ferme à Pontivy pendant 2 mois. Pendant cette année de stage, j’ai commencé à apprendre le Breton avec une motivation grandissante. Je suis ensuite retourné au séminaire pour le cycle de théologie (3 ans) à la fin duquel j’ai obtenu le baccalauréat canonique. J’ai ensuite été envoyé sur la paroisse de Pontivy pour une année de pastorale. Au cours de cette année, je suis devenu pompier volontaire à la caserne de Pontivy.

    J’ai eu la joie d’être appelé à l’ordination diaconale en vue du sacerdoce par notre évêque. L’année prochaine je poursuivrai mes études au séminaire Saint -Yves de Rennes une semaine par mois, tout en continuant ma mission au sein de la communauté paroissiale de Pontivy.

    Michel Hervy, 54 ans

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    Originaire d’Herbignac (diocèse de Nantes), j’y ai effectué mes études secondaires avant de partir à Saint-Nazaire et à Nantes où j’ai suivi un enseignement universitaire en vue de l’obtention d’une maîtrise en histoire. Après mon service militaire sur la base aérienne de Reims, j’ai eu la joie de pouvoir exercer la belle vocation d’enseignant au collège Saint-Jean-Baptiste de Guérande pendant dix ans, avant de devenir adjoint-administratif auprès de l’Éducation nationale. Cette dernière fonction m’a, au gré des mutations, fait occuper des postes successifs à Angers, Nantes, puis dans des établissements scolaires de la région nazairienne. Je suis actuellement en fonction à la cité scolaire Quéral de Pont-Château.

    Du fait de mon retour dans ma région natale en 2011, j’habite à Férel (doyenné de La Roche-Bernard), paroisse qui est, avec celles de Camoël et Pénestin, la région d’origine de ma famille maternelle. C’est là qu’en 2015, mon recteur m’a demandé de discerner en vue du diaconat permanent. J’ai accepté d’entamer la formation et, en parallèle, de suivre les cours du DUET à l’antenne d’Arradon de l’Université Catholique de l’Ouest.

    Ce jour est pour moi l’occasion de rendre grâce à Dieu pour tous ces visages qui ont jalonné ma vie, mon parcours professionnel et mon pèlerinage dans la foi. Mes parents, mes éducateurs, mes amis d’université, mes collègues de travail de l’Enseignement catholique et de l’enseignement d’État, mes chers amis prêtres qui sont, tout spécialement aujourd’hui, le visage de la fidélité et de la confiance…

    Oui, je rends grâce à Dieu pour tous ces visages de l’amitié et de l’exigence. Pour ceux qui, éloignés de la foi, ont su garder au fond de leur coeur l’affection qu’ils me portent et manifester un infini respect pour mes choix. Pour ceux aussi qui ont apaisé mon coeur et ouvert en grand la porte de l’Église. Pour la source qui jaillit au plus profond de moi de tous ces enseignements, de tous ces enthousiasmes, de tous ces témoignages reçus pendant ces années. Pour ce désir d’aimer et de voir le Seigneur qui creuse encore mon coeur.

    Les noms qui suivent ne vous diront peut-être rien, ils sont pour moi ceux qui évoqueraient le mieux ce que je suis… Monsieur l’abbé Robert Cornet, Soeur Augustine Boullard, Monseigneur Gaston Lequimener, Soeur Hildegarde-Yveline Bernard, Monsieur l’abbé Pierre-Yves Bugel… D’auprès de Dieu, ils sont avec nous en ce jour.

    Et si l’Église m’appelle aujourd’hui à son service, que le Seigneur me fasse la grâce, en toute humilité, de n’oublier aucun de ses bienfaits et de me souvenir toujours de sa fidélité.

    Centenaire du couronnement de Notre-Dame de Quelven

    Dimanche 15 août 2021, en la fête de l’Assomption, sera commémoré le centenaire du couronnement de la Vierge ouvrante de Quelven. Il demeure une cinquantaine de ces Vierges dans le monde, dont trois en Bretagne.

    Cette vierge à l’enfant en bois doré du XVIe siècle porte une couronne, comme son fils, et un sceptre avec une fleur de lys.

    Chaque 15 août, lors du Grand Pardon cette statue se métamorphose… La statue est également ouverte exceptionnellement dans le cadre des Jeudis de Quelven.

    GRAND PARDON 15 août 2021

    Messe en breton à 9 h 30.
    Messe du pardon célébrée par Monseigneur Centène à la Scala sancta à 11 h.
    Chapelet à 14 h, célébration mariale, descente de l’ange et feu de joie. Salut du Saint-Sacrement à 15 h.
    Contact : 02 97 27 73 64

    Irène de Château-Thierry, de la commission diocésaine d’art sacré, présente les trésors et mystères du Sanctuaire de Notre-Dame de Quelven, qui fut autrefois le plus important site de pèlerinage du diocèse.

    Communiqué CEF et CORREF – Suite à la remise du rapport de la CIASE à l’Eglise de France

    REMISE DU RAPPORT DE LA CIASE À L’ÉGLISE DE FRANCE Paris, mardi 05 octobre 2021 
    Honte, gratitude, détermination.

    Au nom de la Conférence des évêques de France et de la Conférence des Religieux et Religieuses de France, nous avons reçu aujourd’hui le rapport rédigé par la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE) que nos Conférences avaient demandé à M. Jean-Marc Sauvé, vice-président honoraire du Conseil d’État, de présider, constituer et piloter.

    Nous voulons avant tout remercier M. Sauvé et l’ensemble de la commission, ainsi que les équipes qu’elle s’est adjointes, pour leur immense et indispensable travail. Nous mesurons combien il a pu éprouver chacune et chacun. Ses résultats sont extrêmement lourds. Ils montrent une réalité effroyable que nous ne pouvions imaginer en termes de nombre de victimes, de pourcentage de prêtres et religieux auteurs de ces crimes, de défaillances qui ont rendu possible que certains parviennent à sévir durant des décennies et que si peu soient poursuivis.

    Devant tant de vies brisées, souvent détruites, nous avons honte et sommes indignés.

    Notre pensée et notre immense peine, comme femmes et hommes, comme évêques ou supérieures et supérieurs d’instituts religieux, vont avant tout aux personnes victimes ; celles qui ont pu parler, celles qui n’ont pu le faire encore ou ne le pourront jamais et celles qui sont mortes. Rien ne peut justifier qu’elles n’aient pas été entendues, crues, soutenues, ni que la plupart des coupables n’aient pas été signalés et jugés.

    Nous mesurons plus que jamais le courage des personnes victimes qui ont osé parler et nous exprimons notre profonde reconnaissance à celles et ceux qui ont accepté de travailler à nos côtés.

    Nous redisons solennellement notre détermination à mettre en œuvre les orientations et les décisions nécessaires afin qu’un tel scandale ne puisse se reproduire. Nous remercions vivement celles et ceux qui nous y aident.

    Nous savons que le chemin est encore long pour espérer mériter le pardon des victimes et qu’il nous faut « faire nos preuves ».

    Nos deux conférences, celles des évêques et celle des religieuses et religieux, vont chacune étudier ce rapport et l’ensemble des 45 recommandations de la CIASE. L’assemblée plénière des évêques et l’assemblée générale de la CORREF qui se tiendront au mois de novembre permettront d’adopter les mesures qui paraîtront justes et nécessaires en fonction des décisions déjà prises par chacune de nos conférences. 

    Nous encourageons vivement l’ensemble de l’Église catholique en France, paroisses, mouvements, communautés religieuses, etc., à prendre connaissance du rapport de la CIASE, aussi douloureux soit-il, et à inviter leurs membres à en parler les uns avec les autres. C’est là notre devoir moral pour les personnes victimes et leurs proches et aussi pour les générations à venir : regarder cette terrible réalité pour pouvoir ensemble y faire face et travailler à une Église plus digne de l’humanité et du Christ qu’elle annonce. 

    Monseigneur Éric de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims, président de la Conférence des évêques de France
    Soeur Véronique Margron, op, présidente de la Conférence des religieux et religieuses de France

    Télécharger le communiqué

    Scholè Disciples-Missionnaires

    2 parcours : Missions & Transmission avec 5 journées et Clés pour la mission sur 9 cours

    • Parcours Missions & Transmission : 4 journées identiques de 9 h à 16 h, les mardis sur Lorient et les jeudis sur Vannes. Et 1 journée pour une mise en situation d’évangélisation à coordonner avec les pasteurs des doyennés.
    Missions & TransmissionVannes
    (Montcalm,

    parking rue des Ursulines)
    Lorient
    (Eglise du Sacré Coeur – Salle Béthanie,
    20 rue François Le Levé)
    Journée 1
    1. Histoire du diocèse
    2. Christologie
    3. Père de l’Eglise : St Augustin
    Jeudi
    18 novembre
    Mardi
    23 novembre
    Journée 2
    4. Philosophie de la nature
    5. Philosophie de l’homme
    6. Art Chrétien
    Jeudi
    2 décembre
    Mardi
    7 décembre
    Journée 3
    7. Foi et Raison
    8. A l’école de Jésus-Christ, maître et pédagogue
    9. Liturgie
    Jeudi
    13 janvier
    Mardi
    18 janvier
    Journée 4
    10. Ethique
    11. Devenir Disciple-Missionnaire
    12. Evangéliser sur les réseaux sociaux
    Jeudi
    3 mars
    Mardi
    8 mars
    Journée 5
    Mise en situation d’évangélisation sur vos secteurs
    Jeudi 5 mai
    à voir en fonction des pasteurs
    Mardi 17 mai
    à voir en fonction des pasteurs
    • Parcours Clés pour la mission : 9 cours les samedis, de 9 h 30 à 11 h 30, répartis sur 4 lieux : Lorient (Cercle Saint Louis, 11 place Anatole Le Braz), Ploërmel (Frères de Ploërmel, 1 bd Foch), Vannes (Montcalm, parking rue des Ursulines) et Pontivy (Lycée Jehanne d’Arc, 6 rue Théodore Botrel)
    Clés pour la mission Dates Lieux
    1. Qui est l’homme ?Samedi 20 novembreLorient
    2. Devenir disciple missionnaireSamedi 4 décembre Lorient
    3. Evangéliser par les réseaux sociauxSamedi 8 janvierPloërmel
    4. Histoire du diocèseSamedi 29 janvierPloërmel
    5. Attitudes du missionnaireSamedi 26 févrierVannes
    6. Une semaine missionnaire en paroisseSamedi 12 marsVannes
    7. Fraternités paroissiales missionnairesSamedi 2 avrilPontivy
    8. Diversité dans la missionSamedi 7 maiPontivy
    9. Patrimoine, pardons, pèlerinages pour la missionSamedi 21 maiPontivy

    Scholè Liturgie et sacrements

    2 parcours : Catéchuménat sur 10 cours et Liturgie avec 4 cours et 5 ateliers

    Les 4 premiers cours sont communs aux 2 parcours : Catéchuménat Ados & Adultes et Liturgie. Ils sont donnés à Vannes (Montcalm, parking rue des Ursulines), les jeudis de 18 h à 20 h.

    1. Evangéliser dans le monde d’aujourd’hui (jeudi 25 novembre)
    2. Qui est l’homme ? (jeudi 9 décembre )
    3. Théologie et cohérence des sacrements (jeudi 6 janvier)
    4. Art de célébrer (jeudi 20 janvier)
    • Les participants rejoignent ensuite leur parcours en fonction de leur choix : les 2 parcours pour le catéchuménat sont donnés les mêmes jours, aux mêmes heures de 18 h à 20 h, à Locminé (rue Jean-Marie de Lamennais, parking du cinéma).
    Catéchuménat Adolescents Dates Catéchuménat Adultes
    5. Introduction au catéchuménat :
    Esprit et spécificités
    Jeudi
    24 février
    5. Introduction au catéchuménat :
    Esprit et spécificités
    6. Accueil et accompagnementJeudi
    24 mars
    6. Accueil et accompagnement
    7. Accompagnement et catéchèseJeudi
    7 avril
    7. Accompagnement et catéchèse
    8. Rituel d’initiation des Adultes (RICA)
    et ressources pédagogiques
    Jeudi
    28 avril
    8. Dynamique et gradualité de l’initiation chrétienne
    9. Mise en oeuvre des principaux ritesJeudi
    12 mai
    9. Mise en oeuvre des principaux rites
    10. Accompagnement après les sacrementsJeudi
    2 juin
    10. Accompagnement après les sacrements
    • Pour les parcours Liturgie, les ateliers sont donnés sur le sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray, pendant 5 samedis : 29 janvier, 5 mars, 26 mars, 30 avril et 21 mai, de 13 h 45 à 17 h 30. Chaque participant choisira un atelier sur les 13 possibilités. Lors de l’inscription, il doit indiquer deux ateliers par ordre de préférence (le maintien des ateliers dépendra du nombre d’inscrits)
    1. L’art d’être en équipe liturgique
    2. L’art d’être sacristain ou sacristine
    3. L’art de fleurir
    4. L’art d’encadrer des servants et servantes
    5. L’art d’accompagner au baptême
    6. L’art d’animer les assemblées
    7. L’art d’animer des obsèques
    8. L’art de chanter les psaumes
    9. L’art de chanter en breton
    10. Solfège, chanteurs débutants
    11. Cours de chant collectif
    12. Organiste : l’art d’accompagner
    13. Initiation à la direction
    • Pour ceux qui n’ont pas encore suivi la formation aux Rites de la Messe, elle est fortement recommandée pour s’inscrire aux ateliers ci-dessus. Deux formules au choix :
    1. 4 samedis (les 29 janvier, 5 et 26 mars et 30 avril), de 9 h à 12 h, au sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray
    2. Ou 2 jours (les 4 et 5 juillet 2022), de 9 h à 17 h 30, à Vannes (Montcalm, parking rue des Ursulines)

    Scholè Prendre soin

    8 cours

    Les 4 premiers cours sont communs aux 3 parcours, de 18 h à 20 h, donnés simultanément sur les 2 sites, : Vannes (Montcalm, parking rue des Ursulines) et Lorient (Cercle St Louis, 11 place Anatole Le Braz). L’un en présentiel et l’autre en visio, en fonction des intervenants.

    Les participants rejoignent ensuite leur parcours en fonction des spécificités : Santé & Accompagnement, Charité & Fraternité et Missions & Migrations

    1. Qui est l’homme ? (Vannes-Lorient, mar. 9 nov.)
    2. Besoins spirituels et religieux de la personne (Vannes-Lorient, mar. 7 déc.)
    3. parler de la souffrance : interdit ? (Vannes-Lorient, mar. 4 janv.)
    4. Cheminer avec les personnes en fragilité (Vannes-Lorient, mar. 1er fév.)
    Parcours Santé & AccompagnementParcours Charité & Fraternité et Missions & Migrations
    5. Handicaps : des mots pour le dire, des comportements pour le vivre (Vannes-Lorient, mar. 8 mars)5. Accueillir, écouter, soutenir, accompagner humainement et spirituellement
    (Vannes, Eglise St Vincent Ferrier- mar. 8 mars)
    6. Questions éthiques autour de la fin de vie (Vannes-Lorient, mar. 5 avril)6. Soutien des communautés et liens avec les paroisses
    (Lorient, Espace Saint Phélan, mar.5 avril)
    7. Besoin spirituel et laïcité dans les établissements publics de santé (Vannes-Lorient, mar. 3 mai)7. Pauvreté, évolution et migrations
    (Sainte Anne d’Auray, mar. 3 mai)
    8. accompagner les personnes en fin de vie : soignants, familles, aumôneries .. .(Vannes-Lorient, mar. 7 juin)8. Sensibilisation des communautés et donner de son temps
    (Vannes, Espace Montcalm, mar.31 mai)

    Scholè Patrimoine et Art sacré

    4 cours + 4 ateliers

    1. Évangéliser dans le monde d’aujourd’hui (Ploërmel – merc. 17 nov.)
    2. Qui est l’homme ? (Ploërmel – merc. 1er déc.)
    3. Art de célébrer (Ploërmel – 15 déc.)
    4. Lecture symbolique des églises (Ploërmel – 5 janv.)

    Les 4 ateliers suivants sont les samedis matin de 9 h à 12 h. Et vous pouvez apporter votre pique-nique pour partager un temps de convivialité.

    1. Pourquoi ouvrir les édifices religieux ? (Kernascléden – sam. 29 janv.)
    2. Responsabilités et sécurité, (La Roche-Bernard – sam. 26 mars)
    3. Donner des clés pour découvrir, (BaudGuénin – sam. 30 avril)
    4. Accueillir des évènements culturels, (Belle-Îlesam. 21 mai)

    Sur les pas de Saint Gildas en Morbihan

    Saint Gildas « Abbé en Bretagne »

    Nous irons à la découverte et sur les pas de Saint Gildas dans notre diocèse.

    Ce noble breton voit le jour en Ecosse vers la fin du Ve siècle. Il aurait étudié dans un monastère du pays de Galles, sous la direction d’un disciple de saint Germain l’Auxerrois.  Ordonné prêtre en 518, cet apôtre, surnommé « le sage », convertit d’abord ses compatriotes par une éloquence sacrée aussi simple qu’efficace. Avec le même succès, il passe en Irlande pour aboutir en Armorique, la petite Bretagne continentale. D’abord installé sur l’île de Houat, il va vivre en ermite dans la presqu’île de Rhuys, il y fondera une abbaye qui porte aujourd’hui son nom et qui abrite encore aujourd’hui la sépulture du Saint mort sur l’île de Houat en 570.

    Accompagnateur : Père Ivan Brient

    Scholè Famille et Transmission

    9 cours et 1 atelier

    Les 4 premiers cours sont communs aux 2 parcours : Couple & Mariage et Education & Transmission.

    Ils seront donnés 2 fois :

    • Les jeudis, de 20 h à 22 h, simultanément sur les 3 sites : Vannes, Ploërmel et LorientL’un en présentiel et les autres en visio, en fonction des intervenants.
    • Les samedis, de 9 h 30 à 11 h 30, au sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray (sauf le premier cours).
      Une garderie y sera prévue. Prévenir longtemps à l’avance les organisateurs. MERCI
    1. La famille hier, aujourd’hui et demain à la lumière d’Amoris LaetitiaJeudi 18 novembreVannes -Ploërmel-Lorient simultanément
    2. Hommes et Femmes, appelés à aimer. Amour et vérité se rencontrent.Samedi 27 novembre
    Jeudi 2 décembre
    Ste-Anne-d’Auray
    V-Pl-L simultanément
    3. Hommes et Femmes appelés à aimer. Amour et vérité se rencontrent. SuiteSamedi 11 décembre
    Jeudi 16 décembre
    Ste-Anne-d’Auray
    V-Pl-L simultanément
    4. Transmettre aujourd’huiSamedi 8 janvier
    Jeudi 13 janvier
    Ste-Anne-d’Auray
    V-Pl-L simultanément

    Ensuite chaque participant rejoint le parcours de son choix.


    Pour le parcours Couple & Mariage,
    plusieurs possibilités
    de lieux et de jours.
    Les samedis, une garderie y sera prévue. Prévenir longtemps à l’avance les organisateurs. MERCI
    Pour le parcours Famille & Transmission, tout se passe au sanctuaire de Sainte-Anne-d’Auray. Une garderie y sera prévue. Prévenir longtemps à l’avance les organisateurs. MERCI
    Couple & Mariage Famille & Transmission
    5. Sexualité : un bonheur et un défi
    (Vannes-Ploërmel-Lorient, jeudi 20 janvier)
    (Ste-Anne-d’Auray, sam. 22 janvier)
    5. Homme et Femme,
    chemin de croissance
    (Ste-Anne-d’Auray,
    sam. 22 janvier)
    6. Crises, conflits …. et reconstruction
    (Ste-Anne-d’Auray, sam. 26 février)
    (Vannes-Ploërmel-Lorient, jeudi 3 mars)
    6. Homme et Femme,
    chemin de croissance, suite
    (Ste-Anne-d’Auray,
    sam. 26 février)
    7. Sacrement de mariage : histoire et actualité
    (Ste-Anne-d’Auray, sam. 19 mars)
    (Vannes-Ploërmel-Lorient, jeudi 24 mars)
    7. Parler d’amour aux enfants et aux jeunes
    (Ste-Anne-d’Auray,
    sam. 19 mars)
    8. Pour un mariage valide : les 4 piliers et la déclaration d’intention
    (Ste-Anne-d’Auray, sam. 2 avril)
    (Vannes-Ploërmel-Lorient, jeudi 7 avril)
    8. Les jeunes, il y’a de la joie !
    (Ste-Anne-d’Auray,
    sam. 2 avril)
    9. Liturgie du mariage chrétien
    (Ste-Anne-d’Auray, sam. 14 mai)
    (Vannes-Ploërmel-Lorient, jeudi 19 mai)
    9. Eveiller à l’intériorité
    (Ste-Anne-d’Auray,
    sam. 14 mai)
    10. Ateliers
    (Ste-Anne-d’Auray, sam. 11 juin)
    10. Ateliers
    (Ste-Anne-d’Auray, sam. 11 juin)

    Congrès mission : jours 2 & 3

    Tables rondes, ateliers, village des initiatives, messes, adoration, louange, confessions, il y en avait pour tous les goûts ! Ils étaient nombreux de notre diocèse à être venus goûter aux propositions missionnaires de cette édition délocalisée du Congrès Mission. Visiteurs et bénévoles témoignent.

    Retrouvez ici les thématiques des ateliers et tables rondes.

    Ils ont participé

    … parmi d’autres !

    La communauté du Verbe de vie, Sœur Claire-Elie

    « Les soeurs se sont réparties entre les différentes villes participant au congrès. Ici à Rennes, nous sommes cinq, nous avons un stand au village. Nous attendons du congrès un renouveau dans notre zèle missionnaire, en tant que communauté apostolique, et aussi des rencontres providentielles. Nous allons partager avec d’autres, au cours du Congrès, des missions d’évangélisation, pour mettre nos forces en commun, et pourquoi pas interpeller des jeunes femmes sur notre vocation si cela se présente. »

    .

    Le doyenné d’Arradon

    « Je suis venue pour partager tout ce qui se vit ici, pour avoir des idées pour nos paroisses et faire de belles rencontres, avoir de belles célébrations, c’est très enthousiasmant de voir cette ferveur, cette foi partagée. Nous sommes 7 de Ploeren, je pense que nous allons repartir avec des outils dans notre paroisse. »

    Annick



    « Je suis très touchée par ce congrès, et émue aux larmes par cette prière des laïcs pour les prêtres (à la fin de la messe du samedi matin – ndlr), qui m’a beaucoup touchée dans ma foi, et dans ce que représente cet engagement dont on n’a pas toujours conscience. Je suis parfois un peu rude à l’égard des homélies. Cette prière me touche au plus profond. »


    Geneviève

    Le collectif IPSE : Noémie, Luc, Pierre, Quitterie, Alain, Simon Vincent, Olivier 
    Le nom de ce collectif angevin fait référence à l’intériorité dont parle saint Augustin –“Je te cherchais dehors alors que tu étais au-dedans” (Confessions 10, 27) Le confinement aura fait passer en mode professionnel ce groupe de 8 catholiques de 19 à 50 ans. Basse, batterie, guitare folk, guitare électrique, flûte, piano ont fait jaillir la louange des coeurs des congressistes pendant les offices et les veillées : merci Seigneur ! Voir la page Facebook d’Ipse Worship

    Père Olivier Lorne, Lorient

    « Arrivés à cinq de la paroisse St Louis-Sacré-Coeur de Lorient, nous venons pour renouveler notre regard sur la mission.

    Je pense qu’il y a un effet dynamisant avant même de savoir ce que nous allons rapporter. On se sent solidaire du défi missionnaire. »

    Felipe

    « Le congrès est une invitation pour la jeunesse à participer à la mission : comment inviter les parents à venir partager cette foi avec leurs enfants, et comment, nous, missionnaires qui avons quitté notre pays, pouvons-nous nous engager et partager notre foi ? Nous espérons aussi rencontrer des jeunes intéressés pour vivre la mission avec nous. »

    Monseigneur Laurent Dognin, évêque de Quimper et Léon

    « J’étais très heureux de venir célébrer la messe devant cette assemblée si priante. Cela m’a beaucoup frappé, on sent qu’il y a quelque chose qui unit les cœurs, dans cette volonté d’annoncer l’évangile, de se laisser toucher par le Seigneur. On sent qu’il y a beaucoup d’espérance et de joie. J’étais heureux de voir qu’il y avait des personnes de mon diocèse, plusieurs prêtres, car je pense qu’il est important que cela puisse rayonner dans mon diocèse. Aujourd’hui il ne faut pas baisser les bras, il faut témoigner de la joie de croire. »

    Florian, bénévole

    « Je suis venu avec mes flûtes irlandaises, et je me suis mis à la disposition des organisateurs. J’aime l’adage « Si Dieu le veut ». Je propose, on dispose, et après c’est l’Esprit-Saint qui fait les choses ! La flûte irlandaise est un instrument simple à mettre en place, et qui plus est, a une touche celte qui la rend attractive… C’est un vrai plaisir de rendre service, surtout dans un week-end comme celui-ci ! Chacun peut trouver son engagement, et on peut autant donner que recevoir ! »

    Florian entouré de deux amis, Grégoire et Elisabeth

    La famille Millet, anciens volontaires DCC

    « On vient chercher des rencontres, des partages avec d’autres croyants, découvrir plein de belles initiatives, voir qu’il y a de la vie dans l’Eglise, se redonner un peu de sève, d’énergie pour repartir. Les enfants aussi en bénéficient : ils ont rencontré un prêtre qui leur a donné un cube sur les vocations, et ils se l’arrachent, et à la garderie ils ont fait des icônes. Nous sommes très heureux d’avoir eu aussi un temps en couple. Nous sommes venus avec la casquette d’anciens volontaires de la DCC, parce que nous sommes marqués par la mission que nous avons vécu, et qu’elle fait partie intégrante de notre vie maintenant. »

    .

    Le Renouveau Charismatique,
    Marie-Christine & Marie-Christine

    « Nous sommes venues chercher des idées missionnaires ! Pour rencontrer des gens, des opportunités, et repartir avec le feu de Dieu ! »

    .

    Des paroissiens de la cathédrale : Françoise, Béatrice, Pascal, Laurence

    « On se sentait portés car il y avait beaucoup de jeunes. Les tables rondes nous ont donné des clés pour continuer à accueillir, les exemples d’expérience vécue nous confortent dans ce que nous dit notre curé, et vont aussi nous permettre de sortir de notre routine, de changer quelques façons de faire. « 


    Françoise, accueil du presbytère.

    « Le congrès est un grand rassemblement qui donne l’occasion de voir la diversité de l’Eglise, toutes ses facettes, toutes ses représentations et la manière dont chacun s’y engage. C’est l’occasion de rencontres, d’échanges entre frères, c’est aussi se ressourcer en Eglise. Si on ouvre les mains on reçoit toujours. « 


    Laurence

    Père Pierre Brun-Le Gouest et Père Patrice Marivin

    Père Pierre Brun-Le Gouest,
    Doyenné d’Arradon

    « Il y a une quarantaine de participants des paroisses d’Arradon et autant de la cathédrale, et plusieurs frères prêtres du diocèse. C’est une expérience enthousiasmante. Mon voeu serait que chacun, une fois rentré, puisse relire ce qu’il a reçu du Seigneur durant ces deux jours, et aussi ce qu’il pense être appelé à mettre en œuvre, soit dans le service qu’il exerce déjà, soit dans une nouvelle initiative apostolique.

    Quand à la dimension communautaire, elle est précieuse car elle permet de fortifier le premier cercle des paroissiens impliqués qui peine parfois face à une majorité quelque peu statique. Suite à un atelier qui portait sur ce thème, je viens par exemple de retrouver l’énergie de prier le Seigneur de nous envoyer quelqu’un qui serait un accompagnateur des serviteurs, afin de faire émerger les charismes des uns et des autres, et prendre mieux soin de chacun. Un souhait que je porte depuis deux ans et que je reconfie au Seigneur. Enfin, la prière pour les prêtres a été un moment très fort, on engrange une parole de bénédiction, de consolation extrêmement belle, adressée publiquement au nom de toute l’assemblée. »

    Père Patrice Marivin,
    Cathédrale

    « Comme pasteur de la paroisse cathédrale, il est important de convaincre les paroissiens de venir avec d’autres se ressourcer, faire église autrement, se décentrer, voir qu’il n‘y a pas que notre popotte interne, il y a autrement, il y a plus grand, plus vrai, il y a ailleurs. Toucher quelque chose de l’Eglise universelle, ici à Rennes, et puis spéculer découvrir, réfléchir, prier ensemble et atterrir et voir ce que ça peut donner dans notre paroisse, entre l’idéal de ce lieu ici, en oasis d’espérance, et la réalité de notre paroisse, et tout ça doit nous faire avancer.

    La grâce est que nous sommes 35 de la paroisse cathédrale.  J’ai souhaité que les coordinateurs de mission* participent au congrès, ils sont presque tous là Le maître-mot a été l’anticipation. Nous ferons une réunion de débriefing pour partager ce que nous avons reçu et peut-être mettre des choses en place, peut-être aussi en connexion avec les autres paroisses du doyenné de Vannes. »

    * Laïcs baptisés appelés par le curé pour coordonner différentes missions d’Eglise : funérailles, éveil à la foi, visiteurs de malades, servants d’autel

    Père Raphaël d’Anselme

    Saint-Patern, Vannes

    « Nous sommes venus avec quelques paroissiens membres de l’équipe pastorale missionnaire. C’était l’occasion ou jamais de prendre beaucoup de bonnes idées, car la paroisse Saint-Patern est grande : plus de 30000 habitants. Il faut réussir à toucher les 29000 qui ne vont pas à la messe ! Nous nous sommes donc réparti la tâche entre les différents paroissiens pour aller aux différents ateliers. Jeudi prochain nous faisons une veillée de prière pour lancer la mission sur la paroisse à 20h30, pour sensibiliser les paroissiens à la mission.

    La table ronde des 99 brebis m’a permis d’avoir une vision d’ensemble de la mission et va m’aider à mettre en place notre mission paroissiale. Je suis très heureux d’être là, ça me permet de voir un peu ce que les confrères font dans leur paroisse, toutes les missions qui existent, et voir qu’on a tous les mêmes problématiques. On a tous à s’entraider les uns les autres. La prière pour les prêtres m’a beaucoup touché. »

    Thibault, diacre en vue du sacerdoce

    « J’avais déjà participé à un congrès et ce que j’apprécie ici, au congrès de Rennes, c’est d’avoir, non pas des recettes toutes faites, mais des exemples d’expériences de paroisses transposables. En effet, nous avons dans le diocèse des situations à peu près équivalentes à ce qui nous est présenté ici, qui nous sont accessibles, contrairement aux grosses paroisses parisiennes.

    J’ai eu des témoignages de paroissiens qui ont été heureux de pouvoir prier pour les prêtres. D’habitude c’est plutôt l’inverse. Moi aussi j’ai été touché par cette prière. »

    Sœur Marie-Madeleine, dominicaine du Saint-Esprit
























    Enseignantes, nous avons eu beaucoup de retours très positifs de nos élèves sur le congrès, les rencontres, les ateliers… Nous sommes donc venues d’abord pour découvrir ce qui s’y vit, rencontrer des gens qui ont des missions différentes et complémentaires dans l’Eglise. Toutes les sensibiliés sont représentées, c’est vraiment un rassemblement catholique au sens universel. Nous sommes venues à quatre. Chacune est très intéressée soit par les ateliers qui concernent le discernement, soit l’enseignement, ou la transmission de la foi dans notre monde contemporain, dans des contextes différents du nôtre, car nos écoles sont tenues par les religieuses. Et pourquoi pas revenir l’année prochaine et prendre notre part au congrès mission ? Des jeunes sont venus nous voir, nous poser des questions. Notre habit interpelle, les gens viennent à nous.

    Monseigneur Moutel évêque du diocèse de Saint-Brieuc Tréguier

    « Avec mon équipe épiscopale, nous avons décidé de venir tous ensemble. Nous sommes finalement quatre sur six, ce qui n’est pas si mal ! Il y a également un certain nombre de prêtres et de paroissiens des Côtes d’Armor qui sont présents. C‘est un moment significatif d’initiatives de laïcs pour que l’Eglise conserve ou relance son élan missionnaire. Le fait d’avoir rencontré des frères et sœurs chrétiens qui portent en eux la force de l’Esprit, redonne du courage. Chacun revient avec un nouvel élan. »

    .

    Père Antoine Renou, Vannes

    « Nous avons été très intéressés, dans notre paroisse, par ce congrès Mission. Qu’il soit délocalisé à Rennes, pas loin de chez nous, était une première raison pour venir. Avec les paroissiens, nous nous rendons de plus en plus compte de l’urgence de la mission sur notre territoire et de la nécessité de prendre des moyens concrets pour réaliser cette mission. Nous allons, avec mes confrères, transmettre à nos paroissiens le fruit de nos découvertes pour réfléchir à la façon dont nous pouvons témoigner du Christ aujourd’hui à Vannes. J’ai été particulièrement intéressé par  les témoignages  de porte-à-porte, la mission de rue. À Saint-Patern, nous avons l’idée d’intensifier le contact direct avec les personnes au cours de l’année. »

    Alain, diacre permanent, et son épouse Anne-Marie


    « J’avais vraiment envie de venir pour savoir ce que le Seigneur voulait me dire encore davantage pour l’engagement dans la mission.

    Je suis touché par toutes les initiatives mises en route du côté des paroisses. Il y a énormément à inventer, à développer pour que nos paroisses redeviennent des lieux d’évangélisation, d’accueil et d’annonce de l’amour du Christ.

    Alain

    « Je suis venue avec des pieds de plomb et seulement parce qu’Alain m’a entraînée en me disant que ce serait l’occasion de vivre des moments forts. Et c’est vrai, j’ai vécu des moments très riches. J’ai été particulièrement émue par la prière pour les prêtres samedi. Prier avec et pour les prêtres, c’est vraiment notre mission de laïcs.

    Anne-Marie

    Ils ont témoigné en atelier ou tables rondes

    … parmi d’autres !

    Photo ©Marc Van Steenkise, délégué pastorale des jeunes Douarnenez

    Père Patrick Monnier, délégué diocésain à la Pastorale des jeunes

    Photo ©Marc Van Steenkiste

    « J’ai trouvé que nos échanges étaient représentatifs du thème « révéler les talents pour révéler le Christ« . Je donnais la réplique à deux jeunes filles, Julie Le Rouge qui a fondé le festival Amen-Toi, et Blandine Delanoy, volontaire des Missions Etrangères de Paris, qui ont beaucoup de choses à donner pour le service du Christ. Nous avons partagé nos expériences propres, et malgré les différences de missions, de talent, de réalité et d’âge, nous nous sommes retrouvés sur les grandes tendances communes de la pastorale auprès des jeunes. Pour ma part, j’ai été heureux d’exposer deux points-clés : pour transmettre, il faut faire comme Don Bosco dont on dit « il vivait avec les jeunes », et ne pas avoir peur de proposer des choses à faire, car « c’est en priant qu’on apprend à prier ». Apparemment, le public y a trouvé son compte, car l’enthousiasme a été chaudement manifesté à la fin de la table ronde ! »

    .

    Françoise Morel, directrice RCF Sud Bretagne

    « Au Congrès Mission j’ai pu sentir de façon très incarnée une Eglise vivante, joyeuse et missionnaire. Un rassemblement chrétien en Bretagne avec autant de participants, ce n’est pas si fréquent ! Beaucoup de monde toutes générations confondues partageant ensemble des temps forts de réflexion et aussi des pistes concrètes pour être missionnaires. Et je crois que c’est la force de ce congrès, celle d’ancrer les attentes et les questions et leurs réponses dans le réel en donnant des axes concrets d’actions et de travail, des clés.

    J’ai été frappée par la table ronde que j’ai animée sur les jeunes de tout ce qu’il en est ressorti, comme une boîte à outil pour être missionnaire auprès des jeunes d’aujourd’hui avec leurs bonheurs mais aussi leurs difficultés de vie parfois cruelles.
    Comment être missionnaires via les outils numériques, comment être missionnaire d’une Eglise en marche vers l’écologie intégrale, comment rejoindre ceux qui sont les plus loin de l’Eglise et leur annoncer l’Amour de Dieu ? Tous ces sujets ont été abordés et déployés ensuite avec des intervenants exceptionnels, des témoignages forts, d’hommes, de femmes et prêtres en prises avec notre monde d’aujourd’hui, des chrétiens qui osent l’engagement. »

    Sœur Roxane, prieure des Augustines de Malestroit

    « On m’a sollicitée pour un atelier sur la fin de vie, et pour un atelier sur ce que nous organisons avec les petites sœurs des pauvres pour des jeunes filles qui se posent la question de la vocation ou des questions sur la femme, la maternité, la fécondité ou des questions éthiques. Nous venons parler aussi d’un partenariat que nous avons avec la maison Mariam, d’inspiration jésuite, à Paris, qui est une année de propédeutique pour les jeunes filles.

    C’était très beau de voir le peuple de Dieu rassemblé dans cet élan d’apporter la Bonne nouvelle, ne pas rester repliés sur nous –mêmes, d’autant plus avec ce qui peut se vivre dans l’Eglise de plus douloureux. Et de voir combien les périphéries sont là, et dans tous les domaines. Je viens là pour servir notre Eglise, partager notre charisme Il y a des moments où c’est important de sortir de notre monastère.

    Les MEMO et le Père Antoine le Garo
























    « Nous avons été invités à faire connaître la mission MEMO et ses charismes propres qui se déclinent en quatre points : la vie familiale, la formation et l’accompagnement, l’appel au service et à la mission, et l’échange des cultures. Cela pourrait susciter des vocations de missionnaires, et ça nous a permis de travailler sur ce qu’on vit pour mieux le transmettre ! »

    Atelier
    Stand

    Clémence, de Rohan Mission

    Nous sommes six du bureau de l’association « Rohan Mission ». Le congrès Mission nous a contacté pour nous demander d’animer un atelier. Mais nous sommes venus aussi pour nous former ! Et puis c’est un lieu d’espérance incroyable, c’est une joie de voir la richesse de l’Eglise. Ce qui est incroyable ici, c’est qu’on rencontre tout état de vie, et tout âge, et donc on sent vraiment qu’on est dans l’église universelle.

    Je trouve ça magnifique qu’ils aient décentralisé le congrès, on rencontre beaucoup d’associations qui sont en Bretagne, et donc plus proches de nous et plus intéressées. »

    Atelier Rohan Mission du dimanche matin Photo ©diocèse de Rennes

    Frère Vincent, prieur des frères de saint Jean de Lorient

    Photo©Frères de saint Jean

    « Je viens représenter la communauté des frères de saint Jean. Nous faisons des rencontres malgré la pluie ! Des gens viennent nous voir, et nous remercier parce qu’ils connaissent d’autres communautés Saint Jean, à Cotignac, à Brest, …. Ils viennent nous encourager par rapport à notre histoire, notre héritage, et manifestent leur soutien, leurs prières. Personnellement, de voir ce potentiel incroyable de l’Eglise, ça me rebooste ! »

    Anne-Marie, atelier parcours Alpha

    « Nous avons proposé de présenter le parcours Alpha, en quoi il est fécond pour faire grandir la fraternité dans les paroisses, comment on transforme le tissu paroissial en proposant un outil tout simple qui est le parcours Alpha. C’est un processus qui ouvre les cœurs, et permet de rencontrer le Christ. Ce dont nous avons témoigné dans notre atelier, c’est que l’on a beaucoup de joie à le faire, il y a la joie des invités mais aussi la joie d’être au service de ce parcours de transformation. On sent que les gens ont très à cœur que leur paroisse soit renouvelée, et souhaitent retrouver l’audace pour annoncer Dieu dans les lieux qui se déchristianisent. Pour cela Alpha est un outil assez facile et accessible. »

    Soeur Marie-Anne, supérieure des soeurs Coopératrices Paroissiales du Christ-Roi

    Les soeurs CPCR en 2018

    Nous sommes venues tenir un stand pour présenter notre apostolat. Après cette longue période de confinement, nous pouvons enfin venir à la rencontre des personnes, créer des liens, nous encourager mutuellement entre chrétiens. Il y a ici une grande bienveillance, une ouverture, même entre exposants. Nous sommes heureux de sentir l’Eglise vivante, dans laquelle chacun a sa place. Et c’est aussi l’occasion pour nous de recréer du lien avec les autres communautés religieuses. Ce congrès est une initiative très belle, avec des ateliers intéressants et pertinents, peut-être y aura-t-il un jour l’équivalent à l’échelle de notre diocèse ?

    Isabelle, directrice de l’association La Tilma

    Pour les autres congrès Mission nous n’avions pas fait le pas d’avoir un stand parce que c’était à Paris et que notre association a vocation à être locale. Les femmes que nous accueillons viennent de tout l’Ouest. Cette fois ça a beaucoup de sens car il y a beaucoup de diocésains, c’est important que nous soyons là. Nous avons fait de belles rencontres !

    Ce qui est aussi intéressant, c’est de voir tous les types d’évangélisation qui sont représentés ici. Je me suis retrouvée dans ce que disait un prêtre sur les patronages : la porte d’entrée de l’évangélisation est l’amitié. C’est la même chose pour notre association. Nous avons affiché sur notre stand la phrase : « la Tilma, ou l’évangélisation par l’amitié improbable. » On se relaie sur le stand pour profiter des évènements, le congrès est l’occasion de renouveler son zèle missionnaire !

    Aymeric, coordinateur des chevaliers de Colomb à Vannes

    « Nous sommes à peu près 25 à 30 hommes à nous retrouver une fois par mois autour du père Patrice Marivin, curé de la cathédrale. C’est un moment de convivialité et de prière, et c’est aussi le moment de faire le point sur l’organisation de nos actions de charité et de service. Elles se font par le bouche à oreille, en fonction de ce que la Providence nous envoie, et des disponibilités des uns et des autres : ça peut être du déménagement, du jardinage, des travaux de force, des courses, du transport en voiture, etc… Il est très important cependant de garder la priorité à notre devoir d’état, les activités des chevaliers de Colomb ne doivent pas être une fuite. »

    Les chevaliers de Colomb sont triplement missionnaires : auprès des personnes à qui ils rendent service, au sein même du groupe en accueillant tous ceux qui le souhaitent, chrétiens ou non, et auprès des familles, car le bonheur à y participer rejaillit sur l’entourage !

    Aymeric (à gauche) et deux membres des Chevaliers de Colomb

    Galerie de photos

    Photos de Mark Van Steenkiste, délégué à la pastorale des jeunes pour le secteur de Douarnenez , Finistère, avec son aimable autorisation

    5ème dimanche du Temps Pascal, 2 mai 2021, enfants

    Christ est ressuscité, Il est vraiment ressuscité !

    5ème dimanche de Pâques 2 mai 2021

    Évangile selon St Jean 15, 1- 8
    Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage. Mais vous, déjà vous voici purifiés grâce à la parole que je vous ai dite. Demeurez-en-moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.
    Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent. Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous. Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit et que vous soyez pour moi des disciples.

    Commentaire du texte biblique : dans ce texte, Jésus est la vigne sur laquelle nous sommes greffés et que Dieu le Père entretient. Pour porter du fruit comme la joie, la paix, le bonheur, nous devons rester attachés au cep, donc à Jésus en priant, en écoutant sa Parole, en allant à la messe et en lui confiant tout ce que l’on fait pour que son amour passe par nous. Car Dieu agit par nous lorsque nous sommes proches de Jésus.

    Paroles du Pape François Patris Corde.
    Être une présence quotidienne, discrète et cachée
    « Nous pouvons tous trouver en saint Joseph […] un soutien et un guide dans les moments de difficultés. Saint Joseph nous rappelle que tous ceux qui, apparemment, sont cachés ou en “deuxième ligne” jouent un rôle inégalé dans l’histoire du Salut. »

    APPROFONDISSEMENT

    Visionne la vidéo sur la signification de « La vigne » dans la Bible ICI.

    .

    À quelle partie de l’évangile te fait penser cette suite de petits dessins :

    Association Rêve de Clown

    Depuis le début du 20ème siècle, des clowns passent dans les hôpitaux pour apporter joie et bonne humeur aux malades et particulièrement aux enfants hospitalisés.

    L’association « Rêves de clown » est créée en 2005, par Michel Vobmann pour professionnaliser les actions dans les établissements de santé bretons. Désormais tous les hôpitaux de la Bretagne sont conventionnés avec Rêves de Clown.

    En 2014, une nouvelle activité est créée au bénéfice des personnes âgées. Une formation spécifique est alors dispensée aux « docteurs-clowns » volontaires.

    Mission dans notre diocèse et ailleurs :

     Toute l’année, apporter dans les hôpitaux un rayon de soleil dans les services pour adoucir l’hospitalisation des personnes.

    Activités pour tous les âges.

    Observe l’image : regarde bien les gestes, les regards, les couleurs … que ressens-tu devant cette belle rencontre ?

    Quel « docteur-clown » serais-tu ? Colorie ton choix … n’hésite pas à mettre de belles couleurs !

    5ème dimanche du Temps pascal, 2 mai 2021 – éveil à la Foi

    Christ est ressuscité, Il est vraiment ressuscité !

    5ème dimanche de Pâques 2 mai 2021

    Évangile selon St Jean 15, 1- 8
    Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage. Mais vous, déjà vous voici purifiés grâce à la parole que je vous ai dite. Demeurez-en-moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.
    Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent. Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous. Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit et que vous soyez pour moi des disciples.

    Commentaire du texte biblique : dans ce texte, Jésus est la vigne sur laquelle nous sommes greffés et que Dieu le Père entretient. Pour porter du fruit comme la joie, la paix, le bonheur, nous devons rester attachés au cep, donc à Jésus en priant, en écoutant sa Parole, en allant à la messe et en lui confiant tout ce que l’on fait pour que son amour passe par nous. Car Dieu agit par nous lorsque nous sommes proches de Jésus.

    Paroles du Pape François Patris Corde.
    Être une présence quotidienne, discrète et cachée
    « Nous pouvons tous trouver en saint Joseph […] un soutien et un guide dans les moments de difficultés. Saint Joseph nous rappelle que tous ceux qui, apparemment, sont cachés ou en “deuxième ligne” jouent un rôle inégalé dans l’histoire du Salut. »

    APPROFONDISSEMENT

    Visionne la vidéo sur la signification de « La vigne » dans la Bible ICI

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    Association Rêve de Clown

    Depuis le début du 20ème siècle, des clowns passent dans les hôpitaux pour apporter joie et bonne humeur aux malades et particulièrement aux enfants hospitalisés.

    L’association « Rêves de clown » est créée en 2005, par Michel Vobmann pour professionnaliser les actions dans
    les établissements de santé bretons. Désormais tous les hôpitaux de la Bretagne sont conventionnés avec Rêves de Clown.
    En 2014, une nouvelle activité est créée au bénéfice des personnes âgées. Une formation spécifique est alors dispensée aux « docteurs-clowns » volontaires.

    Mission dans notre diocèse et ailleurs

    Toute l’année, apporter dans les hôpitaux un rayon de soleil dans les services pour adoucir l’hospitalisation des personnes.

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    Moi,
    je suis la vigne
    et vous,
    les sarments

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    Quel « docteur-clown » serais-tu ? Colorie ton choix … n’hésite pas à mettre de belles couleurs !

    4ème dimanche du Temps pascal, 25 avril 2021, enfants

    Christ est ressuscité, Il est vraiment ressuscité !

    4ème dimanche de Pâques 25 avril 2021

    Évangile selon St Jean 10, 11- 18
    Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »

    Commentaire du texte biblique : Jésus se compare au berger qui connaît et prend soin de ses brebis au péril de sa vie, et qui ne les abandonne pas dans les difficultés. Il a été jusqu’à donner sa vie pour nous sauver car il nous aime infiniment. Nous pouvons l’appeler, le prier et il répond vraiment, soit par l’intermédiaire d’une personne auprès de nous, soit directement en changeant notre regard sur la situation. Comme les brebis, nous le connaissons et nous pouvons lui faire confiance !

    Paroles du Pape François Fratelli Tutti n°254
    « Je demande à Dieu de préparer nos coeurs à la rencontre avec nos frères au-delà des différences d’idées, de langues, de cultures, de religions ».

    APPROFONDISSEMENT

    Ouvrez les oreilles !
    Retrouve et complète cette phrase de l’évangile :
    Le Père m’aime parce que je _________________________________
    ma vie pour la ___________________________________de nouveau.

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    La Délégation Catholique pour la Coopération ou DCC est le service de l’Église en France qui envoie des volontaires de solidarité internationale aux quatre coins du monde. Ces derniers partent entre 3 mois et 2 ans pour apporter leur aide sur un projet de développement, dans un pays où les gens souffrent de la pauvreté la plupart du temps (on les appelle les « pays du sud »).
    Les volontaires viennent dans ce pays parce que le responsable d’un projet de développement a demandé qu’une personne vienne l’aider sur ce projet, et vienne vivre aussi avec les gens de son pays, pendant un an ou deux, pour apprendre à vivre ensemble. C’est pour cela que tu peux voir dans le logo « nos mondes à partager » : c’est pour dire combien il est riche de partager un an ou deux de vie avec une population si différente : nous avons tellement à partager : eux avec nous et nous avec eux !

    « Nos mondes à partager »
    Pourquoi partir en tant que volontaire ?

    • Pour aider à un projet de développement local (= trouver des solutions pour mieux manger, pour avoir une meilleure éducation, pour pouvoir mieux se soigner, etc.)
    • Vivre une expérience spirituelle (= avancer sur le chemin qui mène à Dieu)
    • Rencontrer une autre culture dans des conditions de vie simples

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    Et toi, qu’en penses-tu ? (pour les plus grands)

    Regarde, ces jeunes du diocèse de Vannes qui sont partis en mission !

    • Clément est en République démocratique du Congo : il forme de futurs ingénieurs
    • Jeanne est au Tchad : elle est kinésithérapeute.
    • Antoine est au Cameroun et chargé de relations publiques auprès de la Congrégation du Saint-Esprit
    • Manon est revenue du Cameroun il y a quelques mois : elle y était enseignante
    • Paul et Camille reviennent de Côté d’Ivoire. Paul est pharmacien et Camille orthophoniste.

    Activités pour tous les âges.

    Découvre les enfants du monde

    Prions !

    4ème dimanche du Temps pascal, 25 avril 2021, éveil à la Foi

    Christ est ressuscité, Il est vraiment ressuscité !

    4ème dimanche de Pâques 25 avril 2021

    Évangile selon St Jean 10, 11- 18
    Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »

    Commentaire du texte biblique : Jésus se compare au berger qui connaît et prend soin de ses brebis au péril de sa vie, et qui ne les abandonne pas dans les difficultés. Il a été jusqu’à donner sa vie pour nous sauver car il nous aime infiniment. Nous pouvons l’appeler, le prier et il répond vraiment, soit par l’intermédiaire d’une personne auprès de nous, soit directement en changeant notre regard sur la situation. Comme les brebis, nous le connaissons et nous pouvons lui faire confiance !

    Paroles du Pape François Fratelli Tutti n°254
    « Je demande à Dieu de préparer nos coeurs à la rencontre avec nos frères au-delà des différences d’idées, de langues, de cultures, de religions ».

    La Délégation Catholique pour la Coopération ou DCC est le service de l’Église en France qui envoie des volontaires de solidarité internationale aux quatre coins du monde.

    Ces derniers partent entre 3 mois et 2 ans pour apporter leur aide sur un projet de développement, dans un pays où les gens souffrent de la pauvreté la plupart du temps (on les appelle les « pays du sud »).
    Les volontaires viennent dans ce pays parce que le responsable d’un projet de développement a demandé qu’un volontaire vienne l’aider sur ce projet, et vienne vivre aussi avec les gens de son pays, pendant un an ou deux, pour apprendre à vivre ensemble. C’est pour cela que tu peux voir dans le logo « nos mondes à partager » : c’est pour dire combien il est riche de partager un an ou deux de vie avec une population si différente : nous avons tellement à partager : eux avec nous et nous avec eux !

    « Nos mondes à partager »

    Pourquoi partir en tant que volontaire ?

    • Pour aider à un projet de développement local (= trouver des solutions pour mieux manger, pour avoir
      une meilleure éducation, pour pouvoir mieux se soigner,
      etc.)
    • Vivre une expérience spirituelle (= avancer sur le chemin qui mène à Dieu) – Rencontrer une autre culture dans des conditions de vie simples.

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    Je suis le bon pasteur, je connais mes brebis et mes brebis me connaissent !

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    Activités

    Découvre les enfants du monde

    Prions !