La Cathédrale est l’église où l’Evêque d’un diocèse a le siège de son enseignement et de son gouvernement. Dans un diocèse, c’est la première des églises. La Cathédrale est aussi l’église du chapitre des chanoines.
La Cathédrale Saint Pierre de Vannes, construite en granit, se caractérise par un beau mélange de styles. Ses fondements datent du XIIème siècle.
Retrouvez le site internet de la Cathédrale
1675… Prem
ière église Saint Louis de Lorient… en bois !
1702… Seconde église Saint Louis de Lorient… en pierre … reconstruite en 1780 !
1943… Destruction lors de la Seconde Guerre Mondiale !
1953 à 1955… Reconstruction, sous la direction de l’architecte M. Hourlier.
L’actuelle église Notre Dame de Victoire de la Paroisse Saint Louis de Lorient, que vous découvrez ainsi, est dédiée à Notre Dame de Victoire, dont la statue a été ramenée de l’ancienne église, en souvenir de la Victoire sur les Anglais en 1746.
La construction de l’église Notre Dame de Bonne Nouvelle de la paroisse Saint Christophe de Lorient en fut décidée en 1846 pour pallier à l’exiguïté de la chapelle Saint Christophe et à sa situation décentrée dans le développement du quartier de Kérentrech.
Commencée en 1849 (pose de la première pierre le 7 septembre), elle fut achevée en 1854 (bénédiction le 10 septembre).
Elle est l’oeuvre de l’architecte Zacharie Richard.
L’édifice est de style ogival fleuri, construit en pierre blanche de Crazanne (Poitou ou Charente) plus facile à travailler que le granit.
Cette chapelle, brûlée par les Vikings, fut par la suite reconstruite au Xème siècle pour devenir une chapelle de pèlerinage marin.
Aujourd’hui, la partie la plus ancienne de l’église Notre Dame de Larmor Plage remonte au XIVème siècle, car ayant souffert de nombreuses tempêtes et d’un incendie (1502), elle fut essentiellement rebâtie aux XVème et XVIème siècles.
On peut admirer un bel ensemble de construction gothique bretonne.
C’est en 1615 que fut édifiée la tour-clocher.
Basilique Notre Dame du Voeu d’Hennebont (72 mètres).
La première pierre sera posée en 1514 et ce n’est que dix années plus tard que l’église sera consacrée.
François Michart, représenté dans un vitrail, mourut à la tâche et la ville reconnaissante lui fit des funérailles triomphales.
Sire de Toulbodou, surpris par un violent orage, fit le voeu d’élever une chapelle à l’endroit même où sa vie fut mise en danger. Voilà pourquoi s’éleva dans ce site magnifique et si particulier, la chapelle Sainte Barbe du Faouët, une chapelle de style gothique flamboyant (XVème siècle).
On accède à la chapelle par un double escalier monumental majestueux facilitant les processions et pèlerinages.
Une passerelle de granit rejoint l’oratoire Saint Michel.
La chapelle est éclairée de vitraux de style renaissance (XVIème siècle).
Ils retracent l’avenure du Seigneur de Toubodou, l’histoire de marins sauvés de la tempête et surtout la vie de Sainte Barbe, patronne des marins, des artilleurs, des mineurs et des sapeurs pompiers.
Des ex-voto sont la preuve des nombreuses prières adressées à la patronne de ces lieux.
La chapelle Saint Fiacre du Faouët (XVème siècle), au clocher-pignon et aux proportions harmonieuses, fut financée par la famille des Boutteville.
Elle est dédiée à Saint Fiacre, moine venu d’Irlande au VIème siècle et saint patron des paysans et des jardiniers.
La chapelle Notre Dame de Kernascléden est sans conteste un chef d’oeuvre de l’art flamboyant en Bretagne.
C’est grâce au mécénat de la famille des Rohan que put s’élever cette chapelle de style gothique au XVème siècle.
On peut admirer de longs moments l’équilibre et la finesse des façades, ancrées dans la terre et s’élevant tout en légèreté vers le ciel.
Le porche des femmes, finement sculpté, abrite les statues des 12 apôtres.
Dans le choeur, la statue de Notre Dame de Kernascléden, en granit polychrome (XVème siècle) vous accueille.
La chapelle Notre Dame de Quelven mérite à plus d’un titre d’être classée monument historique.
Bâtie au sommet d’une colline, elle domine du haut de son clocher-porche de 70 mètres ajouré d’une belle rosace flamboyante. La flèche de 16 mètres fut reconstruite au XIXème siècle, suite à l’effondrement de l’ancienne.
L’édifice de style flamboyant du XVème siècle est construit sur un site plus ancien déjà très fréquenté par les pèlerins.
L’importance du site se traduit par la richesse de son mobilier : un magnifique buffet d’orgue du XVIIème siècle (récemment restauré), un groupe de statues en bois polychrome de Saint Georges terrassant le dragon, illustrant le Bien contre le Mal, un bas-relief en albâtre du XVème siècle, des vitraux des XVème et XVIème siècles dont le plus remarquable représente l’arbre de Jessé.
La liste n’est pas exhaustive, mais il nous faut citer encore et surtout la remarquable, par sa forme et sa rareté, statue ouvrante de Notre Dame de Quelven.
La Vierge, assise, tient l’Enfant debout sur ses genoux.
Le corps, telle une armoire, s’ouvre pour nous dévoiler un triptyque finement sculpté de 12 bas-reliefs illustrant la Passion du Christ.
A proximité de la chapelle on trouve une scala sancta.
La chapelle Saint Nicodème de Pluméliau est un bel édifice de granit du XVIème siècle de style gothique flamboyant. Elle traduit la ferveur chrétienne des paroissiens de l’époque.
Le calvaire de Guéhenno est exemplaire dans le Morbihan.
Construit en 1550 par un certain Guillouic, il représente toute la ferveur chrétienne des paysans d’alors.
Il impose par sa taille, la richesse de ses bas-reliefs encastrés dans le socle et le nombre de ses personnages.
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Un sanctuaire fut édifié en ce lieu au IXème siècle, suite à la découverte faite en 808 par un laboureur dans un buisson de ronces d’une statue miraculeuse de la Vierge.
Voilà le nom de Basilique Notre Dame du Roncier de Josselin.
Il subsiste des vestiges de l’église romane du XIIème siècle et principalement ses piliers ornés d’animaux, comme cet exemple unique en Bretagne de chien sur le pilier du milieu.
Saint Armel, fondateur de Ploërmel, représenté menant un dragon par son étole, fut, sans doute, le fondateur d’une première église.
Mais de cette époque, il ne reste que des vestiges.
Aujourd’hui, nous pouvons admirer l’église Saint Armel de Ploërmel, bel édifice de style gothique flamboyant du XVIème siècle, au remarquable portail orné de sculptures, dont une représentation symbolique de la vertu terrassant le vice ou une critique des moeurs de l’époque, tel ce verrat soufflant dans un biniou ou tel ce savetier cousant la bouche de sa femme.
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La collégiale Notre Dame de la Tonchaye de Rochefort en Terre est un bel édifice composite tant dans ses matériaux, granit et shiste, que des ses styles.
Son origine remonterait au XIIème siècle, mais c’est en 1498, que Jean IV de Rieux, maréchal de Bretagne, fit du sanctuaire roman une collégiale au style flamboyant abritant 7 chanoines et cela jusqu’à la Révolution.
La date de l’achèvement des travaux peut se lire dans la pierre au-dessus du portail : « en l’an 1533 fut cette oeuvre parfaite« .
La découverte de la statue de la Vierge dans un tronc d’arbre creux est à l’origine du nom et de l’emplacement peu commode de la collégiale.
Cet événement est illustré par un vitrail de style Art Nouveau.
La collégiale abrite une tribune, anciennement jubé, de style flamboyant aux 16 panneaux de bois finement sculptés (XVIème siècle), mais aussi un grand retable (1610) en tuffeau polychrome, dont les décorations s’inspirent de la Contre Réforme baroque.
Saint Cornély ou Saint Corneille, même s’il ne fut pas sacré à Rome, reste un saint vénéré comme guérisseur des bestiaux.
On retrouve sa statue au-desus de la porte centrale encadrée par 2 boeufs.
Sa vie se retrouve illustrée dans les peintures de la nef centrale ou dans les vitraux.
L’abbatiale de Saint Gildas de Rhuys, qui abrite la sépulture du saint mort en 570 sur l’île de Houat, constitue un des rares exemples d’architecture romane en Bretagne (choeur et transept) et conserve quelques éléments de l’abbatiale (XIème siècle).
Remaniée par les Bénédictins au XIIème siècle, ainsi qu’au XVIIème siècle suite à la destruction de sa tour, elle recèle de nombreux trésors.
Son histoire, ses actualités, les informations pratiques, ses services d’accueil et d’écoute, etc. : pour découvrir le sanctuaire de Sainte Anne d’Auray, rendez-vous sur son site internet.
La Fondation Louis Cadic, Musique et Arts Sacrés en Bretagne, soutient financièrement le projet immobilier engagé sur l’ensemble des bâtiments autour de la basilique ainsi que les actions culturelles de l’Académie de Musique et d’Arts Sacrés. Ce projet est nommé « Héritiers, devenez bâtisseurs ».
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