Chrétiens en Morbihan d’avril est paru. Au sommaire, un dossier consacré à Gabriel Deshayes et une riche actualité diocésaine : mille raisons de cultiver l’espérance (en cliquant sur les liens ci-dessous, accédez à des articles en accès libre).
REVUE N°1546, AVRIL 2025
Éditorial : L’émerveillement, source d’Espérance
Confiés à nos prières : Père Paul Fischer • Père Louis Briaud • Père Abel Guillo • Religieuses
Jubilé 1625-2025 : Sainte Anne, messagère d’espérance depuis 400 ans • Le long voyage des reliques de sainte Anne • Pourquoi consacrer un nouvel autel ? • La Troménie, c’est parti ! • La nouvelle bannière du sanctuaire
Vie du diocèse : Appel décisif : des pierres vivantes pour édifier l’Église • Récollection de carême des prêtres
Actualité : Pèlerins de l’Espérance : Jubilé des diacres à Assise et Rome •En bref
Liturgie : Le rite de la lumière lors de la Vigile pascale
Billet spirituel : Comment mettre en pratique les œuvres de miséricorde ?
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 15, 1-3.11-32
En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette parabole : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : ‘Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.’ Et le père leur partagea ses biens. Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien. Alors il rentra en lui-même et se dit : ‘Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.’ Il se leva et s’en alla vers son père. Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : ‘Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.’ Mais le père dit à ses serviteurs : ‘Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.’ Et ils commencèrent à festoyer. Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : ‘Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.’ Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : ‘Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !’ Le père répondit : ‘Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé ! »
Le retour du fils prodigue Le Guerchin, musée de Wloclawek
Pour approfondir
Il y a quelque chose de récurent dans les évangiles, Jésus va à la rencontre des personnes, quelle que soit leur situation, quelle que soit leur histoire… Et il leur montre, comme dans cette parabole, la proximité, la compassion et la tendresse du Père. Cette parabole du fils prodigue et du père miséricordieux nous montre le chemin. À nous de le prendre et d’accueillir la miséricorde divine, à nous d’accueillir son pardon…
DN 32. Le Cœur du Christ, symbole du centre personnel d’où jaillit son amour pour nous, est le noyau vivant de la première annonce. Là se trouve l’origine de notre foi, la source qui donne vie aux convictions chrétiennes. Des gestes qui reflètent le cœur.
DN 33. Le Christ n’a pas voulu beaucoup nous expliquer son amour pour nous, mais Il l’a manifesté par ses gestes. Nous découvrons en le voyant agir la manière dont Il nous traite chacun, même si nous avons du mal à le percevoir. Allons donc chercher là où notre foi peut le reconnaître : dans l’Évangile.
DN 34. Selon l’Évangile, Jésus est venu chez les siens (cf. Jn 1, 11). Il ne nous traite pas comme des étrangers, par conséquent nous sommes les siens. Il nous considère comme un bien propre sur lequel il veille avec soin, avec affection. Il nous traite comme les siens. Cela ne signifie pas que nous serions ses esclaves, et lui-même le dit : « Je ne vous appelle plus serviteurs » (Jn 15, 15). Il nous propose l’appartenance réciproque des amis. Il est venu, Il a franchi toutes les distances, Il s’est fait proche de nous dans les choses les plus simples et les plus quotidiennes de l’existence. L’autre nom qu’il porte, “Emmanuel”, signifie en effet “Dieu avec nous”, Dieu proche de notre vie, vivant parmi nous. Le Fils de Dieu s’est incarné et s’est « anéanti lui-même, prenant la condition d’esclave » (Ph 2, 7).
Prière
Prière de sainte Mère Teresa de Calcutta Seigneur, ouvre nos yeux, que nous te reconnaissions dans nos frères et soeurs. Seigneur, ouvre nos oreilles, que nous entendions les appels de ceux qui ont faim, de ceux qui ont froid, de ceux qui ont peur et que l’on opprime ; ô Seigneur, ouvre nos coeurs, que nous nous aimions les uns les autres comme tu nous aimes. Renouvelle en nous ton Esprit, Seigneur, rends-nous libres et unis. Amen.
Un jour, des gens rapportèrent à Jésus l’affaire des Galiléens que Pilate avait fait massacrer, mêlant leur sang à celui des sacrifices qu’ils offraient. Jésus leur répondit : « Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, pour avoir subi un tel sort ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. Et ces dix-huit personnes tuées par la chute de la tour de Siloé, pensez-vous qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Eh bien, je vous dis : pas du tout ! Mais si vous ne vous convertissez pas, vous périrez tous de même. » Jésus disait encore cette parabole : « Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint chercher du fruit sur ce figuier, et n’en trouva pas. Il dit alors à son vigneron : ‘Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve pas. Coupe-le. À quoi bon le laisser épuiser le sol ?’ Mais le vigneron lui répondit : ‘Maître, laisse-le encore cette année, le temps que je bêche autour pour y mettre du fumier. Peut-être donnera-t-il du fruit à l’avenir. Sinon, tu le couperas.’ »
Jésus et le figuier, manuscrit arabe
Texte d’accompagnement
En citant saint Jean-Paul II, et en évoquant sainte Faustine, le pape François fait le lien entre le Cœur de Jésus et la miséricorde divine. C’est dans cette dynamique qu’il a souhaité que le 2e dimanche de Pâques, dimanche ‘in albis’ pour les baptisés de Pâques, soit le dimanche de la miséricorde. Cet évangile ne nous présente-t-il pas Dieu comme le miséricordieux, celui qui nous a déjà pardonné à la condition que nous fassions une démarche de demande de pardon avec la volonté de changer de vie. N’est-ce pas le sens profond du Baptême et de la Réconciliation sacramentelle ? Et c’est le sens de l’indulgence : Dieu est indulgent, à nous de lui répondre. N’est-ce pas le sens du chant : « Seigneur, j’accueille ton pardon. Donne-moi la force d’aimer… ». Écoutons le pape François dans son encyclique Dilexit nos : DN 149. /…/. Je voudrais aussi rappeler les expériences de sainte Faustine Kowalska qui propose à nouveau la dévotion au Cœur du Christ en mettant fortement l’accent sur la vie glorieuse du Ressuscité et sur la miséricorde divine /…/. Saint Jean-Paul II rattache étroitement sa réflexion sur la miséricorde à la dévotion au Cœur du Christ : « L’Église semble professer et vénérer d’une manière particulière la miséricorde de Dieu quand elle s’adresse au cœur du Christ. En effet, nous approcher du Christ dans le mystère de son cœur nous permet de nous arrêter sur ce point […] de la révélation de l’amour miséricordieux du Père, qui a constitué le contenu central de la mission messianique du Fils de l’homme ». Le même saint Jean-Paul II, se référant au Sacré-Cœur, reconnait de façon très personnelle : « Il m’a parlé dès mon plus jeune âge ».
Prière
Prière enseignée par l’Ange aux trois enfants de Fatima en 1916 (sanctuaire marial au Portugal). Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Et je vous demande pardon pour tous ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas et qui ne vous aiment pas.
Rassemblés à Sainte-Anne d’Auray le premier dimanche de Carême, les 117 catéchumènes adultes du diocèse ont fait un pas décisif : exprimer devant tous leur désir d’accueillir une vie nouvelle. Au lendemain du 400ème anniversaire de la découverte de la statue, leur démarche de conversion a fait écho à celle du Jubilé sainte Anne 1625-2025 : aller à Jésus par Marie, pour construire l’Eglise avec les pierres vivantes que nous sommes.
« Le nombre de catéchumènes est très impressionnant »*, s’émerveille Dorian, 18 ans, en franchissant la porte jubilaire, surmontée de l’inscription « Me voici Seigneur, je viens faire ta volonté ». « Il y a un véritable éveil de la foi en ce moment ! », s’enthousiasme le lycéen. Après deux années de catéchuménat, ce futur bachelier attend son passeport pour la vie chrétienne plus encore que le précieux sésame vers les études supérieures.
Le phénomène tient en un mot : conversion, comme l’a rappelé Monseigneur Centène dans son homélie. Ce jour où l’Eglise reconnait officiellement la démarche de conversion des catéchumènes adultes est « une grande joie », a affirmé l’évêque. « C’est le signe que l’Esprit-Saint est à l’œuvre aujourd’hui dans le monde puisqu’il permet à des personnes de découvrir le Christ et la joie de marcher à sa suite ».
*En 2024, le diocèse de Vannes affichait une hausse significative (+50%) des baptêmes d’adultes par rapport à 2023 (+30% en moyenne pour les 104 diocèses de France). En 2025, la hausse s’accentue encore : 117 adultes seront incorporés à l’Eglise lors des prochaines fêtes pascales (soit + 56 %). Les 18-25 ans représentent 43% des catéchumènes.
L’après-midi, dans sa traditionnelle catéchèse devant les catéchumènes, Monseigneur Raymond Centène a tiré des apparitions de sainte Anne deux enseignements-clés pour nourrir les futurs baptisés : la gratuité de la grâce et l’appel à être des « pierres vivantes » pour construire l’Eglise, communauté des croyants.
Cet été, le diocèse fêtera, lors du Grand Pardon de Sainte-Anne et pendant 4 jours, les 400 ans de l’apparition de Sainte-Anne à Yvon Nicolazic. 4 jours de fête pour clôturer également le jubilé diocésain qui a lieu depuis 3 ans ! A cette occasion, un Festival sera proposé aux jeunes de 16 à 35 ans, à Sainte-Anne d’Auray, avant le départ pour le jubilé des jeunes à Rome voulu par le pape François.
Le Festival Sainte-Anne, organisé par et pour les jeunes
Dès le jeudi 24 juillet, et jusqu’au 27 juillet, les étudiants, lycéens et jeunes pros seront accueillis près du sanctuaire, où ils pourront vivre des temps forts entre eux, avec un village des associations, des conférences, des concerts, des animations, des danses, des temps de prière et de confession… Ils pourront bénéficier des grands moments du Pardon, et participer à des offices, faire le chemin jubilaire.
« Ce seront de vraies JMJ, à la mode bretonne : des Journées Morbihannaises de la Jeunesse ! » expliquent les jeunes organisateurs. D’ailleurs les noms des formules proposées en disent long sur l’attachement à la culture bretonne :
La sainte-Anne, Festival uniquement, du 24 au 27 juillet (seule formule possible pour les mineurs)
La mini-Sainte-Anne, pass deux jours pour ceux qui ne peuvent venir plus longtemps
La Complète, Festival + Rome, du 24 juillet au 4 août
La Romaine, Rome uniquement, du 27 juillet au 4 août
Le logement se fera sous tente pour les majeurs, en gymnase pour les mineurs, et les repas sont prévus. Les inscriptions se font jusqu’au 30 mars pour les formules avec Rome, et jusqu’en juillet pour les formules Festival seul. Pour tout renseignement, contacter : festivalsainteanne@diocese-vannes.fr
Un tremplin pour le rassemblement mondial des jeunes
Afin de faciliter le transport, le départ pour Rome se fera de Sainte-Anne d’Auray dès le 27 juillet. « Ce sera une belle préparation pour le jubilé des jeunes à Rome. » « Hâte de revivre des journées comme au Portugal ! »
Luce, qui veut dire « lumière », la mascotte du jubilé
Ce personnage, réalisé par Simone Legno, artiste spécialisé dans l’illustration, a été conçu dans le but de refléter la culture pop, et transmet un message d’espérance et d’accueil.
Luce est une pèlerine qui porte les éléments typiques du voyageur : un k-way jaune pour se protéger des intempéries, des bottes tâchées de boue qui témoignent du chemin parcouru, une croix missionnaire autour du cou et le bâton de pèlerin.
La représentation des yeux de Luce, qui brillent d’une lumière intense, est particulièrement évocatrice : ils symbolisent l’espérance qui naît au coeur de chaque pèlerin. Ils incarnent le désir de spiritualité et de connexion avec le divin et sont l’écho d’un message universel de paix et de fraternité. En savoir plus sur le site officiel du jubilé
L’annuaire diocésain 2025 est désormais disponible en ligne. Cet outil précieux vous permettra de retrouver facilement les coordonnées des paroisses et des ministres ordonnés du diocèse de Vannes.
Une version numérique en avant-première
À ce stade, seules les rubriques « Paroisses », « Ministres ordonnés », « L’évêque de Vannes » et la « Liste des paroisses » sont accessibles. Il s’agit d’extraits du livre final, ce qui explique la numérotation temporaire des pages. Nous espérons pouvoir y ajouter prochainement d’autres chapitres.
Votre aide est précieuse ! Si vous constatez des erreurs ou des informations à mettre à jour, nous vous invitons à envoyer vos modifications à communication@diocese-vannes.fr. Ces ajustements seront pris en compte pour l’édition papier à venir.
Téléchargement et consultation de l’annuaire diocésain 2025
Vous pouvez télécharger les extraits de l’annuaire en cliquant sur les liens ci-dessous ou les consulter directement grâce à la visionneuse intégrée à cet article. Nous vous rappelons par ailleurs que la carte du diocèse de Vannes est aussi disponible en ligne.
Retrouvez ici les éléments du Dossier Mensuel de Liaison du mois de AVRIL 2025, au format PDF et JPEG. Vous souhaitez demander une parution ? Recevoir le DML par mail ? Abonner une personne ou encore signaler un changement d’adresse ? N’hésitez pas à contacter le service diocésain de communication : communication@diocese-vannes.fr
À l’occasion du Carême, les services diocésains vous accompagnent chaque année à la période de Pâques avec des textes et des méditations. Pour le Carême 2025, un livret gratuit en version papier est mis à votre disposition dans votre paroisse. Vous pouvez également le consulter en ligne ci-dessous ou le télécharger au format pdf en utilisant le lien un peu plus bas.
Le père Gwenaël Maurey introduit le livret de Carême 2025 par ces mots :
Jésus modèle de charité à la lumière de l’encyclique du pape François « Dilexit nos » (« Il nous a aimés ») d’octobre 2024
À l’occasion du 350e anniversaire des apparitions du Sacré Cœur de Jésus à sainte Marguerite Marie à Paray-le-Monial, le pape François a publié, le 24 octobre 2024, une lettre encyclique « Dilexit nos / il nous a aimés » sur le culte du Sacré Cœur. Cette lettre éclaire de façon remarquable notre double année jubilaire de sainte Anne et de l’Église universelle. Avec sainte Anne, soyons des « Pèlerins de l’Espérance », comme François nous y invite, en contemplant la figure même de Jésus, modèle de charité. C’est bien dans cette dynamique spirituelle qu’est placée notre troisième année du jubilé de sainte Anne. Nous prendrons donc le temps de méditer les évangiles des dimanches de Carême à la lumière de « Dilexit nos » en contemplant le Cœur du Christ en Croix d’où est « sorti du sang et de l’eau » (Jean 19, 33-34). Depuis les débuts de l’Église, les disciples de Jésus y ont vu la source des sacrements et donc de toute vie spirituelle. En lisant et relisant les évangiles des dimanches de Carême, éclairés par des extraits de « Dilexit nos » méditons sur Jésus, modèle de charité. C’est bien en contemplant ce « Cœur qui nous a tant aimés » que nous entrerons dans cet élan de la charité, et donc de la fraternité et de la solidarité avec les plus démunis. Gabriel Deshayes, à une époque troublée, nous montra ce chemin-là…
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 9, 28b-36
En ce temps-là, Jésus prit avec lui Pierre, Jean et Jacques, et il gravit la montagne pour prier. Pendant qu’il priait, l’aspect de son visage devint autre, et son vêtement devint d’une blancheur éblouissante. Voici que deux hommes s’entretenaient avec lui : c’étaient Moïse et Élie, apparus dans la gloire. Ils parlaient de son départ qui allait s’accomplir à Jérusalem. Pierre et ses compagnons étaient accablés de sommeil ; mais, restant éveillés, ils virent la gloire de Jésus, et les deux hommes à ses côtés. Ces derniers s’éloignaient de lui, quand Pierre dit à Jésus : « Maître, il est bon que nous soyons ici ! Faisons trois tentes : une pour toi, une pour Moïse, et une pour Élie. » Il ne savait pas ce qu’il disait. Pierre n’avait pas fini de parler, qu’une nuée survint et les couvrit de son ombre ; ils furent saisis de frayeur lorsqu’ils y pénétrèrent. Et, de la nuée, une voix se fit entendre : « Celui-ci est mon Fils, celui que j’ai choisi : écoutez-le ! » Et pendant que la voix se faisait entendre, il n’y avait plus que Jésus, seul. Les disciples gardèrent le silence et, en ces jours-là, ils ne rapportèrent à personne rien de ce qu’ils avaient vu.
La Transfiguration, Lodovico Carracci
Texte d’accompagnement
La demande de Pierre semble insensée : « Faisons trois tentes, une pour toi, une pour Moïse et une pour Elie… »… Et pourtant, Jésus y répond à sa manière : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi, je vous soulagerai », et il ajoute : « Demeurez en moi ». Lorsque nous communions, Jésus vient demeurer en nous par sa Parole et par son Pain. Et parce que Jésus vient demeurer en nous, nous pouvons demeurer en lui. C’est bien ce cœur à cœur que nous vivons en accueillant cette Parole de Dieu et ce Pain de l’Eucharistie. Alors nous pouvons demeurer en Lui, et Lui en nous… Écoutons le pape François dans son encyclique Dilexit nos : DN 43. Nous avons dans les Écritures sa Parole toujours vivante et actuelle, mais il arrive aussi que Jésus nous parle intérieurement et nous appelle pour nous conduire au meilleur endroit. Ce lieu le meilleur, c’est son Cœur. Il nous appelle à entrer là où nous pouvons retrouver des forces et la paix : « Venez à moi, vous tous qui peinez et ployez sous le fardeau, et moi, je vous soulagerai » (Mt 11, 28). C’est pourquoi Il demande à ses disciples : « Demeurez en moi » (Jn 15, 4).
Chrétiens en Morbihan de mars 2025 est paru. Au sommaire, une invitation à vivre la miséricorde de Dieu et un tour d’horizon de la riche actualité diocésaine (en cliquant sur les liens ci-dessous, accédez à des articles en accès libre).
REVUE N°1545, MARS 2025
Éditorial : La grâce du Jubilé est une grâce de réconciliation
Actualité : Ordination de François-Régis, séminariste en insertion à Ploërmel, pour le Diocèse aux armées françaises • Stage Soli Deo Gloria. Chanter, jouer, célébrer le Seigneur ! • Fraternités paroissiales missionnaires • Le sanctuaire marial de la Madone des motards. Venez chercher les grâces toute l’année ! • Tro Breiz 2025 – de Nantes à Vannes • Parcours Revivre. Sept soirées pour revivre après une séparation ou un divorce • Accueils Louis & Zélie : deux lieux d’écoute dans le diocèse •En bref
Liturgie : La prière dialoguée de l’Orate Fratres – Histoire et signification
Archives diocésaines : Les œufs de Carême ou la disette dans le diocèse de Vannes au 18e siècle
Retrouvez ici les éléments du Dossier Mensuel de Liaison du mois de MARS 2025, au format PDF et JPEG. Vous souhaitez demander une parution ? Recevoir le DML par mail ? Abonner une personne ou encore signaler un changement d’adresse ? N’hésitez pas à contacter le service diocésain de communication : communication@diocese-vannes.fr
En ce temps-là, après son baptême, Jésus, rempli d’Esprit Saint, quitta les bords du Jourdain ; dans l’Esprit, il fut conduit à travers le désert où, pendant quarante jours, il fut tenté par le diable. Il ne mangea rien durant ces jours-là, et, quand ce temps fut écoulé, il eut faim. Le diable lui dit alors : « Si tu es Fils de Dieu, ordonne à cette pierre de devenir du pain. » Jésus répondit : « Il est écrit : L’homme ne vit pas seulement de pain. » Alors le diable l’emmena plus haut et lui montra en un instant tous les royaumes de la terre. Il lui dit : « Je te donnerai tout ce pouvoir et la gloire de ces royaumes, car cela m’a été remis et je le donne à qui je veux. Toi donc, si tu te prosternes devant moi, tu auras tout cela. » Jésus lui répondit : « Il est écrit : C’est devant le Seigneur ton Dieu que tu te prosterneras, à lui seul tu rendras un culte. » Puis le diable le conduisit à Jérusalem, il le plaça au sommet du Temple et lui dit : « Si tu es Fils de Dieu, d’ici jette-toi en bas ; car il est écrit : Il donnera pour toi, à ses anges, l’ordre de te garder ; et encore : Ils te porteront sur leurs mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre. » Jésus lui fit cette réponse : « Il est dit : Tu ne mettras pas à l’épreuve le Seigneur ton Dieu. » Ayant ainsi épuisé toutes les formes de tentations, le diable s’éloigna de Jésus jusqu’au moment fixé.
La Tentation du Christ, Scheffer, musée du Louvre, Paris
Texte d’accompagnement
C’est bien un « Jésus rempli de l’Esprit » que le diable tente, et c’est bien parce que le Cœur de Jésus est en pleine communion avec le Père dans l’Esprit, que le « Fils de Dieu » résiste aux tentations. Dans les moments de difficultés et de tentations, c’est dans un cœur à cœur avec Jésus que nous résisterons. Qu’en ce Carême, en contemplant « Jésus, modèle de charité », nous prenions ce chemin-là… Écoutons le pape François dans son encyclique Dilexit nos : DN 75. Tournons maintenant notre regard vers l’Esprit Saint qui remplit le Cœur du Christ et brûle en lui. Comme l’a dit saint Jean Paul II, le Cœur du Christ est « le chef-d’œuvre de l’Esprit Saint ». Il ne s’agit pas seulement du passé, car « dans le Cœur du Christ, est vivante l’action de l’Esprit Saint, auquel Jésus a attribué l’inspiration de sa mission (cf. Lc 4, 18 ; Is 61, 1) et dont il avait promis l’envoi lors de la dernière Cène. C’est l’Esprit qui aide à saisir la richesse du signe du côté transpercé du Christ, dont l’Église est issue (cf. Const. Sacrosanctum Concilium n. 5) ». En définitive, « seul l’Esprit Saint peut ouvrir devant nous cette plénitude de “l’homme intérieur” qui se trouve dans le Cœur du Christ. Lui seul peut introduire progressivement la force de cette plénitude dans nos cœurs humains ». /…/ DN 76. L’action de l’Esprit Saint dans le cœur humain du Christ provoque en permanence cette attirance vers le Père. Et lorsqu’il nous unit aux sentiments du Christ par la grâce, il nous fait participer à la relation de celui-ci avec le Père, il est « un esprit de fils adoptifs qui nous fait nous écrier : Abba ! Père ! » (Rm 8, 15).
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 6,1-6.16-18
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Ce que vous faites pour devenir des justes, évitez de l’accomplir devant les hommes pour vous faire remarquer. Sinon, il n’y a pas de récompense pour vous auprès de votre Père qui est aux cieux. Ainsi, quand tu fais l’aumône, ne fais pas sonner la trompette devant toi, comme les hypocrites qui se donnent en spectacle dans les synagogues et dans les rues, pour obtenir la gloire qui vient des hommes. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense. Mais toi, quand tu fais l’aumône, que ta main gauche ignore ce que fait ta main droite, afin que ton aumône reste dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra. Et quand vous priez, ne soyez pas comme les hypocrites : ils aiment à se tenir debout dans les synagogues et aux carrefours pour bien se montrer aux hommes quand ils prient. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense. Mais toi, quand tu pries, retire-toi dans ta pièce la plus retirée, ferme la porte, et prie ton Père qui est présent dans le secret ; ton Père qui voit dans le secret te le rendra. Et quand vous jeûnez, ne prenez pas un air abattu, comme les hypocrites : ils prennent une mine défaite pour bien montrer aux hommes qu’ils jeûnent. Amen, je vous le déclare : ceux-là ont reçu leur récompense. Mais toi, quand tu jeûnes, parfume-toi la tête et lave-toi le visage ; ainsi, ton jeûne ne sera pas connu des hommes, mais seulement de ton Père qui est présent au plus secret ; ton Père qui voit au plus secret te le rendra. »
Imposition des Cendres, missel à l’usage de Saint-Pol de Léon, après 1562
Texte d’accompagnement
Le secret d’une véritable démarche de Carême dans le partage, le jeûne et la prière, n’est-il pas de la faire avec le cœur ? C’est le message fort de l’encyclique du pape François : que nous vivions une véritable conversion du cœur, un cœur qui s’unifie et s’harmonise en contemplant le Cœur de Jésus. Écoutons le pape François dans son encyclique Dilexit nos (DN) :
DN 18. Nous voyons ainsi que, dans le cœur de chaque personne, il existe ce lien paradoxal entre la valorisation de soi et l’ouverture à l’autre, entre la rencontre très personnelle avec soi-même et le don de soi à l’autre. Je ne deviens moi-même que lorsque j’acquiers la capacité de reconnaître l’autre, et que je rencontre l’autre qui peut reconnaître et accepter mon identité. DN 19. Le cœur est également capable d’unifier et d’harmoniser l’histoire personnelle, qui semble fragmentée en mille morceaux mais où tout peut avoir un sens…
Chrétiens en Morbihan de février est paru. Nouvelle Une, nouvelle mise en page, mais toujours 36 pages, d’actualité diocésaine et de réflexion. Ce mois-ci, le dossier nous emmène en milieu rural. Voici le sommaire de votre revue diocésaine (en cliquant sur les liens ci-dessous, accédez à des articles en accès libre).
REVUE N°1544, FEVRIER 2025
Éditorial : La semence germe et pousse
Officiel : Nomination
Confiés à nos prières : Père Bruno Léry • Religieuses
Vie du diocèse : Cérémonie des vœux du 18 janvier 2025
Actualité : Dernière phase de restauration pour la cathédrale •En bref
Question spirituelle : Que signifie « sanctifier le jour du Seigneur » ?
DOSSIER : CHEMINS DE FOI EN MILIEU RURAL • Églises rurales, la grâce de l’enracinement • Une pastorale diocésaine pour le monde agricole • Chrétiens en monde rural (CMR) Pour des territoires ruraux « dynamiques, solidaires et durables »
Retrouvez ici les éléments du Dossier Mensuel de Liaison du mois de JANVIER 2025, au format PDF et JPEG. Vous souhaitez demander une parution ? Recevoir le DML par mail ? Abonner une personne ou encore signaler un changement d’adresse ? N’hésitez pas à contacter le service diocésain de communication : communication@diocese-vannes.fr
Samedi 18 janvier 2025 à 10 h 00, à la Maison du Diocèse, à Vannes, se tiendra la traditionnelle cérémonie des vœux à notre évêque, Monseigneur Raymond Centène.
Comme chaque année, le doyen du Chapitre Cathédral adressera, au nom de tout le diocèse, ses vœux à l’évêque au cours d’une allocution en présence des acteurs de la vie diocésaine, des fidèles et de toute personne souhaitant y participer. En réponse, Monseigneur Centène présentera ses vœux et partagera son message d’espérance et les orientations du diocèse pour l’année 2025.
Cette rencontre conviviale, moment fort pour notre communauté, sera suivie d’un pot de l’amitié. Vous êtes tous chaleureusement invités à venir nombreux pour ce temps de partage et d’échange.
Samedi 18 janvier, à 10 h 00 Maison du Diocèse -Espace Montcalm 55, rue Mgr Tréhiou à Vannes
Chrétiens en Morbihan de janvier 2025 est paru. Voici le sommaire des 36 pages de votre revue diocésaine (en cliquant sur les liens ci-dessous, accédez à des articles en accès libre).
REVUE N°1543, JANVIER 2025
Éditorial : Bonne et sainte année 2025 / Mgr Centène
Portrait : du Burkina Faso à Mauron, les Noël heureux d’un prêtre fidei donum
DOSSIER : ÊTRE GRANDS-PARENTS • Sainte Anne et saint Joachim, la fécondité des grands-parents • Anne et Joachim, mouvement diocésain au service des grands-parents • Les grands-parents, transmetteurs de racines, témoins de foi • Transmettre la foi aux petits-enfants ? Comment dépasser les tensions ? • De fil en aiguille, un bonheur à tisser
Archives diocésaines : Histoires de dates et de calendriers
Liturgie : Comme un flambeau, cantique du Jubilé
Question spirituelle : Comment mettre en pratique le quatrième commandement : Honore ton père et ta mère ?
Patrimoine : Saintes parentés – Jésus, vrai Dieu et vrai Homme
Agenda de l’évêque et du diocèse
Méditer : Lettre des évêques de France : Vers un jubilé de l’Espérance
Le diocèse de Vannes souhaite apporter les éléments suivants, suite aux articles publiés le 12 décembre 2024 :
– L’église Saint-Guen de Vannes, construite après 1905, est la propriété exclusive de l’Association diocésaine de Vannes, à la disposition des fidèles de la paroisse. – Cette dernière n’a donné mandat à aucune association de pourvoir à l’entretien de cet édifice. Elle seule est fondée à ordonner les travaux qu’elle juge nécessaires en lien avec les paroissiens de Saint-Guen.
– L’association « Amis de l’église Saint-Guen de Vannes » a plusieurs objets dont l’essentiel semble être de promouvoir l’œuvre de l’architecte, la participation à l’entretien de l’édifice n’apparaissant qu’en énième position.
– Le Père Le Pipe a institué l’Association diocésaine de Vannes légataire universelle de ses biens, à charge pour elle de reverser le montant de la succession «au comité des amis de saint Guen, association chargée de l’entretien de l’église Saint-Guen à Vannes», ce qui n’est pas le cas.
– L’affaire a déjà été classée sans suite par la Justice en novembre 2020.
– L’Association diocésaine de Vannes fonctionnant en franchise de droit de mutation à titre gratuit, le montage mis en place aurait pu rendre l’Association diocésaine complice d’une fraude fiscale. Les sommes sont isolées dans les comptes de l’Association, sous le contrôle d’un commissaire aux comptes indépendant. Les fonds n’ont pas été utilisés à d’autres fins, comme ont pu le constater les enquêteurs au cours de leurs investigations, ce qui explique notamment la raison pour laquelle l’affaire a été classée sans suite.
– Le Diocèse de Vannes demeure dans l’attente des conclusions des débats à l’issue de l’audience.
En ce temps-là, Jésus parlait à ses disciples de sa venue : « Il y aura des signes dans le soleil, la lune et les étoiles. Sur terre, les nations seront affolées et désemparées par le fracas de la mer et des flots. Les hommes mourront de peur dans l’attente de ce qui doit arriver au monde, car les puissances des cieux seront ébranlées. Alors, on verra le Fils de l’homme venir dans une nuée, avec puissance et grande gloire. Quand ces événements commenceront, redressez-vous et relevez la tête, car votre rédemption approche. Tenez-vous sur vos gardes, de crainte que votre coeur ne s’alourdisse dans les beuveries, l’ivresse et les soucis de la vie, et que ce jour-là ne tombe sur vous à l’improviste comme un filet ; il s’abattra, en effet, sur tous les habitants de la terre entière. Restez éveillés et priez en tout temps : ainsi vous aurez la force d’échapper à tout ce qui doit arriver, et de vous tenir debout devant le Fils de l’homme. »
Sacré-Coeur de Jésus, sculpture de Paul Roussel dans la nef de la basilique de sainte-Anne-d’Auray. « Voici le cœur qui a tant aimé le monde ».
Commentaire
L’Avent commence aujourd’hui, nous attendons Noël. Nous attendons aussi la venue glorieuse de Jésus, comme tous ses disciples, alors que le monde n’a pas fini d’aller mal. Jésus, pourtant, rassure ses disciples : « à la différence de tous ces gens terrorisés, redressez-vous, vous allez être libérés, on vient payer votre rançon » ! Rempli de bonté pour les siens, il se refuse à taire cette bonne nouvelle, il veut que ses disciples, eux, n’aient pas peur et se réjouissent même d’être bientôt sauvés ! Mais la bonne nouvelle ne suffit pas : Jésus, plein de charité et de compréhension pour notre faiblesse, sait bien que nous relâchons notre vigilance à l’annonce d’un répit. Pour nous éviter de tout perdre, il rappelle comment prendre au sérieux la nouvelle de notre libération : garder constamment, par la prière, le coeur ouvert au Seigneur, à sa volonté, à sa venue — sinon comment serons-nous prêts ? — et, en conséquence, abandonner la vie égoïste que nous avions auparavant ; le manque de générosité est contraire à ce qu’est le Seigneur qui se donne lui même pour nous sauver. En ce qu’il dit, en ce qu’il fait, Jésus est modèle de charité.
Chrétiens en Morbihan de décembre 2024 est paru. Voici le sommaire des 36 pages de votre revue diocésaine (cliquez sur les liens ci-dessous pour accéder à trois articles en accès libre).
REVUE N°1542, DECEMBRE 2024
Éditorial : Fêter Noël avec la famille… de Jésus
Confiés à nos prières : Père Lucien Pédron, Père Claude Michel • Religieuses
Vie du diocèse : Constitution du nouveau conseil presbytéral
Actualité : Un sapin pour Noël… et un livre sous le sapin • Journée du handicap à Sainte-Anne-d’Auray le 20 octobre •Kerlanda 2024 : une quatrième édition réussie• Deuxième Trail Relais des Chapelles 56•En bref
Archives diocésaines : Apparitions de sainte Anne : le bicentenaire et le tricentenaire
Liturgie : Le sens liturgique de l’Avent
Question spirituelle : Le dimanche, premier ou dernier jour de la semaine ?
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